ANNIVERSAIRE DE GEORGES OHSAWA
24 AVRIL 2024
2ème PARTIE
ANNIVERSARY OF GEORGES OHSAWA
APRIL 24, 2024
PART 2
Texte édité le 28 Avril 2024
Text Published on April 28, 2024
This text will be completely translated into English for all our native English-speaking friends.
Continuons à apprendre la philosophie du PRINCIPE UNIQUE du professeur G. OHSAWA.
LA VIE N’EST QU’UN SONGE
G. OHSAWA - 1964
2ème partie
G. OHSAWA - 1964
2ème partie
L’homme moderne se déifie lui-même, parce qu’il est égocentrique et dualiste. Il se heurte lui-même aux autres. Il insiste sur la propriété et son propre privilège. Il est plus intellectuel que l’homme primitif. C’est pourquoi il peut exploiter et exploite le primitif ignorant. Il a colonisé tous les pays du monde des primitifs, ou presque. L’homme moderne invente de nombreuses choses – serrures et clefs, fusils et mitrailleuses – toujours plus puissantes que les précédentes. Il invente les lois et les gouvernements pour limiter la liberté des autres.
Pour parler d’une façon logique, la théorie scientifique de l’origine de la création est plus enfantine et superficielle que le « Livre de la Genèse ». Elle ignore complètement l’origine de la vie et des choses et, somme toute, le plan, son créateur et son mécanisme, et son énergie d’évolution.
Il est dit que la biologie moderne ne laisse pas de doute que la maladie et la pestilence ne soient les manifestations de la colère de Dieu, mais simplement le résultat du hasard.
Ici, nous voyons une extrémité de la mauvaise compréhension occidentale vis-à-vis de la mentalité orientale. L’homme occidental ou moderne est complètement ignorant du concept oriental de Dieu, lequel concept est l’UN de l’Ordre-Constitution du monde interprété en langage simple pour les hommes primitifs et innocents. « La colère de Dieu » est aussi une expression enfantine, une transformation symbolique du mea culpa de l’homme primitif.
Je ne veux pas développer ici une explication de la médecine orientale ; ce n’est rien d’autre qu’une application biologique et physiologique du Principe Unique. Elle a guéri des milliers d’incurables, de maladies chroniques, en Europe et en Amérique, depuis que je visitais pour la première fois les continents. La médecine moderne aurait mieux fait de s’interroger plus sérieusement à ce sujet. Elle ne peut pas guérir ces maladies courantes et chroniques, bien qu’elles soient connues depuis des milliers d’années. De plus, elle ne peut guérit les maladies les plus modernes. L’inutilité ou l’inefficacité de la médecine moderne a été notée et publiée récemment dans des numéros spéciaux de la revue « Time » (N° de février 1960, édition française, et aussi dans un numéro d’une édition américaine).
Les trois grandes maladies aux U.S.A. : cancer, maladies mentales et troubles cardiaques, sont plus ou moins incurables officiellement par la médecine moderne (Et toujours d’actualité avec des complications et une dissémination de ces trois pathologies auxquelles il faut ajouter les maladies neurodégénératives ; les maladies cardiaques comme 1ère cause de décès ; ndlr).
Statistiquement, il y a 128.000.000 de personnes aux U.S.A. qui sont enregistrées comme souffrant de maladies chroniques d’une espèce ou d'une autre (Aujourd’hui en 2024, 243.000.000 d’américains dont 205 millions d’obésités cliniques et 133 millions de diabétiques dont certains avec des pathologies chroniques doubles ou associées, selon le Centers of Disease Control, CDC ; ndlr).
Telle est la colère de Dieu, ou l’évidence la plus totale de la violation de l'ORDRE de l'UNIVERS par l’homme moderne, qui est dirigé par la médecine moderne.
Qu’est-ce qui est préférable ? D’être civilisé ou intellectuel, mais de souffrir d'une maladie chronique toute la vie, pour vivre dans une incertitude invincible avec peur, et mourir désespéré ? Ou d’être un sauvage innocent qui jouit de la vie en toutes circonstances ?
Je crois qu’il est raisonnable d’être un homme moderne dans la vie courante, tout en reconnaissant l’ancien et honorable ORDRE de l'UNIVERS.
L’homme moderne croit que Darwin avec les autres savants, a jeté une grande lumière et une grande compréhension sur la manière dont la vie a pris naissance. Aussi rejeta-t-il l’idée de la génération spontanée, mais la recherche scientifique ne mène qu’à un monde sans but et dépourvu de signification.
La déification de l’homme et de la science arrive à sa fin prévisible. La pensée de Darwin était limitée et enfantine ; ou, peut être était-il myope ou daltonien. Il entrevoyait l’évolution comme à travers une caméra ; ainsi en pouvait-il voir la multitude des facteurs et des mécanismes qui collaborent à mener à bien et à contrôler l’évolution qu’il entrevit. De plus, il était aveugle, totalement aveugle vis-à-vis du moteur de cette évolution : la VIE, l’origine de l’évolution. La caméra est un instrument de précision, mais elle n’a pas le cerveau propre. L’opérateur doit suppléer à ce manque.
Le déification de l’homme, qui se traduit par la négation ou l’ignorance de l’ordre-constitution de l’univers, a pour résultat sa destruction prochaine. Son agonie, son anxiété, son incertitude, sa peur, sa culpabilité, sont les signaux de l’homme moderne sur la route de la chute. L’homme est encore, ou beaucoup plus, égocentrique après la négation totale de la conception égocentrique du monde par Copernicus ?
L’homme n’a pas d’autre alternative que de réexaminer toutes les bases de sa culture et d’apprendre à repenser depuis le commencement. Il n’y a pas de solution facile, et beaucoup de conventions qu’il chérit doivent être rejetées à mesure que le Monde ancien fait place au Nouveau.
Nous vivons dans un monde changeant, passionnant, dans lequel paradoxalement, les perspectives les plus brillantes et les plus chargées d’espérance pour l’humanité voisinent avec les dangers les plus noirs. (L’Univers Inhabité, de K. W. Gatland).
Si vous êtes un homme de science moderne et assez modeste pour être d’accord avec l’auteur de ces lignes, permettez-moi de vous offrir notre Principe Unique ; un Principe vieux de milliers d’années et cependant encore vital, et vivant, et présent dans la vie de chaque jour de centaines de millions d‘orientaux.
Le Principe Unique nous append à penser et à juger correctement. Selon notre logique universelle, il y a deux catégories de pensée complètement différentes : 1ère . « Omou », manière de penser de façon relative aux choses, choses dans ce monde de relativité ; 2ème « Kangaeru », manière de penser dans l’univers de l’infinité (dont notre monde de relativité est un point infinitésimal).
Pour ces deux catégories de pensée, notre vieille philosophie n’offre qu’un seul instrument : la dialectique moniste polarisable de YIN-YANG, le Principe qui fut symbolisé dans le « Tapis magique » , dans « La Lampe d’Aladin », par « Sésame ouvre-toi, Si-Yuh-Ki », et beaucoup d’autres histoires de l’Orient.
Pour parler d’une façon logique, la théorie scientifique de l’origine de la création est plus enfantine et superficielle que le « Livre de la Genèse ». Elle ignore complètement l’origine de la vie et des choses et, somme toute, le plan, son créateur et son mécanisme, et son énergie d’évolution.
Il est dit que la biologie moderne ne laisse pas de doute que la maladie et la pestilence ne soient les manifestations de la colère de Dieu, mais simplement le résultat du hasard.
Ici, nous voyons une extrémité de la mauvaise compréhension occidentale vis-à-vis de la mentalité orientale. L’homme occidental ou moderne est complètement ignorant du concept oriental de Dieu, lequel concept est l’UN de l’Ordre-Constitution du monde interprété en langage simple pour les hommes primitifs et innocents. « La colère de Dieu » est aussi une expression enfantine, une transformation symbolique du mea culpa de l’homme primitif.
Je ne veux pas développer ici une explication de la médecine orientale ; ce n’est rien d’autre qu’une application biologique et physiologique du Principe Unique. Elle a guéri des milliers d’incurables, de maladies chroniques, en Europe et en Amérique, depuis que je visitais pour la première fois les continents. La médecine moderne aurait mieux fait de s’interroger plus sérieusement à ce sujet. Elle ne peut pas guérir ces maladies courantes et chroniques, bien qu’elles soient connues depuis des milliers d’années. De plus, elle ne peut guérit les maladies les plus modernes. L’inutilité ou l’inefficacité de la médecine moderne a été notée et publiée récemment dans des numéros spéciaux de la revue « Time » (N° de février 1960, édition française, et aussi dans un numéro d’une édition américaine).
Les trois grandes maladies aux U.S.A. : cancer, maladies mentales et troubles cardiaques, sont plus ou moins incurables officiellement par la médecine moderne (Et toujours d’actualité avec des complications et une dissémination de ces trois pathologies auxquelles il faut ajouter les maladies neurodégénératives ; les maladies cardiaques comme 1ère cause de décès ; ndlr).
Statistiquement, il y a 128.000.000 de personnes aux U.S.A. qui sont enregistrées comme souffrant de maladies chroniques d’une espèce ou d'une autre (Aujourd’hui en 2024, 243.000.000 d’américains dont 205 millions d’obésités cliniques et 133 millions de diabétiques dont certains avec des pathologies chroniques doubles ou associées, selon le Centers of Disease Control, CDC ; ndlr).
Telle est la colère de Dieu, ou l’évidence la plus totale de la violation de l'ORDRE de l'UNIVERS par l’homme moderne, qui est dirigé par la médecine moderne.
Qu’est-ce qui est préférable ? D’être civilisé ou intellectuel, mais de souffrir d'une maladie chronique toute la vie, pour vivre dans une incertitude invincible avec peur, et mourir désespéré ? Ou d’être un sauvage innocent qui jouit de la vie en toutes circonstances ?
Je crois qu’il est raisonnable d’être un homme moderne dans la vie courante, tout en reconnaissant l’ancien et honorable ORDRE de l'UNIVERS.
L’homme moderne croit que Darwin avec les autres savants, a jeté une grande lumière et une grande compréhension sur la manière dont la vie a pris naissance. Aussi rejeta-t-il l’idée de la génération spontanée, mais la recherche scientifique ne mène qu’à un monde sans but et dépourvu de signification.
La déification de l’homme et de la science arrive à sa fin prévisible. La pensée de Darwin était limitée et enfantine ; ou, peut être était-il myope ou daltonien. Il entrevoyait l’évolution comme à travers une caméra ; ainsi en pouvait-il voir la multitude des facteurs et des mécanismes qui collaborent à mener à bien et à contrôler l’évolution qu’il entrevit. De plus, il était aveugle, totalement aveugle vis-à-vis du moteur de cette évolution : la VIE, l’origine de l’évolution. La caméra est un instrument de précision, mais elle n’a pas le cerveau propre. L’opérateur doit suppléer à ce manque.
Le déification de l’homme, qui se traduit par la négation ou l’ignorance de l’ordre-constitution de l’univers, a pour résultat sa destruction prochaine. Son agonie, son anxiété, son incertitude, sa peur, sa culpabilité, sont les signaux de l’homme moderne sur la route de la chute. L’homme est encore, ou beaucoup plus, égocentrique après la négation totale de la conception égocentrique du monde par Copernicus ?
L’homme n’a pas d’autre alternative que de réexaminer toutes les bases de sa culture et d’apprendre à repenser depuis le commencement. Il n’y a pas de solution facile, et beaucoup de conventions qu’il chérit doivent être rejetées à mesure que le Monde ancien fait place au Nouveau.
Nous vivons dans un monde changeant, passionnant, dans lequel paradoxalement, les perspectives les plus brillantes et les plus chargées d’espérance pour l’humanité voisinent avec les dangers les plus noirs. (L’Univers Inhabité, de K. W. Gatland).
Si vous êtes un homme de science moderne et assez modeste pour être d’accord avec l’auteur de ces lignes, permettez-moi de vous offrir notre Principe Unique ; un Principe vieux de milliers d’années et cependant encore vital, et vivant, et présent dans la vie de chaque jour de centaines de millions d‘orientaux.
Le Principe Unique nous append à penser et à juger correctement. Selon notre logique universelle, il y a deux catégories de pensée complètement différentes : 1ère . « Omou », manière de penser de façon relative aux choses, choses dans ce monde de relativité ; 2ème « Kangaeru », manière de penser dans l’univers de l’infinité (dont notre monde de relativité est un point infinitésimal).
Pour ces deux catégories de pensée, notre vieille philosophie n’offre qu’un seul instrument : la dialectique moniste polarisable de YIN-YANG, le Principe qui fut symbolisé dans le « Tapis magique » , dans « La Lampe d’Aladin », par « Sésame ouvre-toi, Si-Yuh-Ki », et beaucoup d’autres histoires de l’Orient.
G. OHSAWA - 1964
Fin de l’article : « La vie est un songe ».
Fin de l’article : « La vie est un songe ».
QUESTIONS ET PENSÉES YIN-YANG SUR LE TEXTE
Il faudrait bien entendu expliquer la trame sous-jacente du texte de G. OHSAWA ; certaines tournures de phrases ou métaphores pour les personnes néophytes, ceux qui commencent la pratique de cette philosophie, ou pour ceux qui s’y intéressent intellectuellement ou philosophiquement. Des expressions qui peuvent leur paraitre simplistes ou contradictoires.
Il faut donc relire au « deuxième degré » ou avec le Compas dialectique qui ouvre la profondeur existentielle et philosophique du texte.
Par exemple, j’ai déjà cité l’acte paradoxal du primitif. Il réalise un rêve dans lequel il voit l'étranger lui voler et il décide de donner ces biens précieux à ce "voleur" !
Cela parait aberrant : un quidam qui rêve qu’untel va le voler ou le piller, va au contraire augmenter sa méfiance et fermer à triple tour de clefs sa maison pour protéger ses biens ! Ce primitif semble alors soit un dupe soit atteint de troubles psychologiques.
Dans cette courte expression de G. OHSAWA, c'est presque une double synthèse suprême. La première, le fonctionnement du cerveau psychique du Primitif dans sa stratégie existentielle. La seconde, c'est toute l’histoire des colonisations insatiables et meurtrières par les européens, les occidentaux, dans les pays des "Primitifs" : Afrique, Moyen-Orient ; Extrême-Orient ; Pacifique.
Mais non ! Pour l'Homme naturel, le Primitif, le rêve n’est pas un songe mais bien une réalité issue de la Mémoire Infinie (divine). Elle le convoque et lui signifie les actes de « bonnes conditions » à réaliser pour l’évolution de sa propre destinée.
Et c'est complétement contraire ou hétérogène aux interprétations occidentales du "rêve"; car celui-ci ne serait qu'un fantasme onirique, une lubie agréable ou désagréable, une expression sans foi ou sans réalité significative.
Et selon le psychanalyste S. Freud, pour qui le rêve ne serait que le réarrangement des restes diurnes ou la fonction d'un désir pulsionnel.
S. Freud n'a jamais compris la fonction profonde du rêve, il écrit : "Le rêve est le gardien du sommeil" et "Le rêve est la réalisation d'un désir". Quel aveu de son inexpérience dans le travail de rêver et la fonction métabiologique dans le rêve contrôlé.
À nous de réfléchir au sens profond de l’Esprit Oriental primitif qui vit dans un monde que l’on peut appeler : EREWHON. C’est le monde « rêvé » de Samuel Butler, qui fut berger dans sa jeunesse, équivalent à celui de Lewis Carroll qui le précéda dans son œuvre avec « Alice aux pays des merveilles ».
Autre exemple. « La philosophie Orientale enseigne la négation du moi ». Mais si l’on efface le moi que reste-t-il ? Ne sommes-nous rien ? Il ne faut pas confondre le déni de l’identité, du moi, qui est l’état schizophrénique et la maitrise de son moi.
Cette « Réfutation » sert la nécessité de passer d’abord par la « négation du moi » c'est à dire ranger son ego, le petit moi, là où il doit être, c'est à dire dans sa cabane de gardien et lui faire appliquer les tâches strictement assignées à son niveau.
Le moi-égo ne doit jamais prendre la gouvernance de la Vie de l'Homme.
Une fois fait ce travail, « rencontrer » son Moi spirituel afin qu'il regagne sa place souveraine, sa place régalienne.
En résumé, notre égo est rangé dans sa « cabane » tandis que notre vraie identité, qui se déploie dans le « travail » de la Voie prend la forme d’un Moi spirituel infini…
Autre exemple. G. OHSAWA parle de « La dialectique moniste polarisable de YIN-YANG, le Principe qui fut symbolisé, dans le « Tapis magique », dans « La Lampe d’Aladin ».
Après avoir mis à bas la puissante et légendaire théorie darwinienne sur l’évolution des espèces, il propose une sérieuse révolution de la science occidentale et un changement de toute la civilisation, en s’appuyant sur un Principe Unique. Et ce Principe est lui-même représenté par des « histoires symboliques » tels qu’un « Tapis magique » et « La Lampe d’Aladin ». En apparence pour le commun des mortel ceux-ci ne sont que des divertissements imaginaires ou des contes pour enfants !
Pour un scientiste bien formaté, au "cerveau triangulaire", et obsédé par sa carrière parmi ses compères, c'est, soit de l'ironie (parce que cet auteur parait intelligent) soit de l'arrogance candide.
Mais non, le monde de la science moderne s'écroule et ne peut répondre à aucune, des questions, des problématiques, posée il y a déjà 2800 ans par les anciens grecs (pour rester dans la référence occidentale), et aucune solution aux catastrophes qui "tombent du ciel" comme la grêle !
Tiens ! Si ça vient du ciel, prions Dieu (contrairement à ce qu'on pense, de nombreux scientistes occidentaux sont de bons catholiques ou protestants, discrets ...).
Donc voilà encore un autre paradoxe métaphorique issu du Principe Unique : des contes magiques, un « Sésame ouvre-toi », etc… qui servent de modèle à une très ancienne philosophie et science des Écoles orientales pour corriger la toute-puissante science analytique, souveraine, et rénover les bases et les conceptions de la civilisation sophistiquée actuelle.
Voilà ce nous propose G. OHSAWA pour passer ce monde ancien en train de mourir, parce que dès le départ la voie qu’il a empruntée était erronée, faussée, et même insensée.
Il nous professe de constituer un monde Nouveau avec le modèle du Principe Unique YIN-YANG qui nous apprend à penser intelligemment et spirituellement : Kangaeru.
Bien mieux que la méthode de Descartes (mort épuisé dans les « ébats » excessifs avec Christine de Suède, une dame de feu très portée sur la "chose"…) ;
et bien mieux que celle des physiciens einsteiniens qui confondent relativité et Infinité ;
et bien mieux que celle des biologistes généticiens daltoniens qui font du génome vivant et inconstant une nouvelle religion atomiste.
Enfin il nous donne une terrible prévision, en 1964 (!) : « Nous vivons dans un monde changeant, passionnant, dans lequel paradoxalement, les perspectives les plus brillantes et les plus chargées d’espérance pour l’humanité voisinent avec les dangers les plus noirs. ».
Voilà un texte que j’ai choisi parce qu'il entre pleinement dans la pédagogie du modèle dialectique du Principe Unique qu’est venu nous offrir le Professeur G. OHSAWA dans la continuité de son œuvre engagée fondamentalement il y a maintenant près de 2000 ans (et depuis bien plus…).
10 QUESTIONS AUX CHERCHANTS POUR ALLER PLUS LOIN DANS LA PHILOSOPHIE DU PRINCIPE UNIQUE
Par ordre de difficulté de 1 à 10.
1. Peut-on produire du Rêve par des techniques ou des consommations alimentaires ? Comment ?
2. Le Rêve se déclenche-t-il avec une alimentation trop YANG ou trop YIN ? Pourquoi ?
3. Pourquoi les produits animaux produisent-ils des cauchemars ?
4. Quels menus du tableau du Zen Macrobiotique prédispose aux mécanismes du rêve ?
5. Comment savoir si la vie que nous menons est un songe ou la constitution de notre vraie destinée, notre pacte de vie ?
6. N’avez-vous jamais rêvé en pensant ou agissant comme dans la réalité quotidienne ?
7. Si une nuit dans notre sommeil ou dans notre contemplation, un être nous montre que notre vie n’est qu’un songe, comment saurons-nous que nous ne sommes pas en train de rêver à un songe ?
8. Le monde Réel est-il ici dans la vie quotidienne ou dans la dimension du Rêve ? Pourquoi ?
9. Le progrès dans la faculté du Jugement, est-il de substituer un rêve par un autre rêve plus virtuose pour avancer ? Le processus du rêve joue-t-il un rôle dans l’évolution du Jugement ?
10. Sommes-nous dans un univers qui n’est qu’une illusion fabriquée ou cultivée artificiellement, par des êtres supra-intelligents ou par le flux des énergies humaines (et autres…) dans une chaine générationnelle sans fin, de génération en génération ?
Ad vitam aeternam.
L. DEYNE
L. DEYNE
1 commentaire:
Merci docteur deyne
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