dimanche, avril 28, 2024

 

ANNIVERSAIRE DE GEORGES OHSAWA

24 AVRIL 2024

2ème PARTIE


ANNIVERSARY
OF GEORGES OHSAWA

APRIL 24, 2024

PART 2




Georges J. OHSAWA


Texte édité le 28 Avril 2024
Text Published on April 28, 2024
This text will be completely translated into English for all our native English-speaking friends.



Continuons à apprendre la philosophie du PRINCIPE UNIQUE du professeur G. OHSAWA.


LA VIE N’EST QU’UN SONGE
G. OHSAWA - 1964
2ème partie


L’homme moderne se déifie lui-même, parce qu’il est égocentrique et dualiste. Il se heurte lui-même aux autres. Il insiste sur la propriété et son propre privilège. Il est plus intellectuel que l’homme primitif. C’est pourquoi il peut exploiter et exploite le primitif ignorant. Il a colonisé tous les pays du monde des primitifs, ou presque. L’homme moderne invente de nombreuses choses – serrures et clefs, fusils et mitrailleuses – toujours plus puissantes que les précédentes. Il invente les lois et les gouvernements pour limiter la liberté des autres.

Pour parler d’une façon logique, la théorie scientifique de l’origine de la création est plus enfantine et superficielle que le « Livre de la Genèse ». Elle ignore complètement l’origine de la vie et des choses et, somme toute, le plan, son créateur et son mécanisme, et son énergie d’évolution.

Il est dit que la biologie moderne ne laisse pas de doute que la maladie et la pestilence ne soient les manifestations de la colère de Dieu, mais simplement le résultat du hasard.

Ici, nous voyons une extrémité de la mauvaise compréhension occidentale vis-à-vis de la mentalité orientale. L’homme occidental ou moderne est complètement ignorant du concept oriental de Dieu, lequel concept est l’UN de l’Ordre-Constitution du monde  interprété en langage simple pour les hommes primitifs et innocents. « La colère de Dieu » est aussi une expression enfantine, une transformation symbolique du mea culpa de l’homme primitif.

Je ne veux pas développer ici une explication de la médecine orientale ; ce n’est rien d’autre qu’une application biologique et physiologique du Principe Unique. Elle a guéri des milliers d’incurables, de maladies chroniques, en Europe et en Amérique, depuis que je visitais pour la première fois les continents. La médecine moderne aurait mieux fait de s’interroger plus sérieusement à ce sujet. Elle ne peut pas guérir ces maladies courantes et chroniques, bien qu’elles soient connues depuis des milliers d’années. De plus, elle ne peut guérit les maladies les plus modernes. L’inutilité ou l’inefficacité de la médecine moderne a été notée et publiée récemment dans des numéros spéciaux de la revue « Time » (N° de février 1960, édition française, et aussi dans un numéro d’une édition américaine).

Les trois grandes maladies aux U.S.A. : cancer, maladies mentales et troubles cardiaques, sont plus ou moins incurables officiellement par la médecine moderne (Et toujours d’actualité avec des complications et une dissémination de ces trois pathologies auxquelles il faut ajouter les maladies neurodégénératives ; les maladies cardiaques comme 1ère cause de décès ; ndlr).
Statistiquement, il y a 128.000.000 de personnes aux U.S.A. qui sont enregistrées comme souffrant de maladies chroniques d’une espèce ou d'une autre (Aujourd’hui en 2024, 243.000.000 d’américains dont 205 millions d’obésités cliniques et 133 millions de diabétiques dont certains avec des pathologies chroniques doubles ou associées, selon le Centers of Disease Control, CDC ; ndlr).

Telle est la colère de Dieu, ou l’évidence la plus totale de la violation de l'ORDRE de l'UNIVERS par l’homme moderne, qui est dirigé par la médecine moderne.

Qu’est-ce qui est préférable ? D’être civilisé ou intellectuel, mais de souffrir d'une maladie chronique toute la vie, pour vivre dans une incertitude invincible avec peur, et mourir désespéré ? Ou d’être un sauvage innocent qui jouit de la vie en toutes circonstances ?

Je crois qu’il est raisonnable d’être un homme moderne dans la vie courante, tout en reconnaissant l’ancien et honorable ORDRE de l'UNIVERS.

L’homme moderne croit que Darwin avec les autres savants, a jeté une grande lumière et une grande compréhension sur la manière dont la vie a pris naissance. Aussi rejeta-t-il l’idée de la génération spontanée, mais la recherche scientifique ne mène qu’à un monde sans but et dépourvu de signification.

La déification de l’homme et de la science arrive à sa fin prévisible. La pensée de Darwin était limitée et enfantine ; ou, peut être était-il myope ou daltonien. Il entrevoyait l’évolution comme à travers une caméra ; ainsi en pouvait-il voir la multitude des facteurs et des mécanismes qui collaborent à mener à bien et à contrôler l’évolution qu’il entrevit. De plus, il était aveugle, totalement aveugle vis-à-vis du moteur de cette évolution : la VIE, l’origine de l’évolution. La caméra est un instrument de précision, mais elle n’a pas le cerveau propre. L’opérateur doit suppléer à ce manque.

Le déification de l’homme, qui se traduit par la négation ou l’ignorance de l’ordre-constitution de l’univers, a pour résultat sa destruction prochaine. Son agonie, son anxiété, son incertitude, sa peur, sa culpabilité, sont les signaux de l’homme moderne sur la route de la chute. L’homme est encore, ou beaucoup plus, égocentrique après la négation totale  de la conception égocentrique du monde par Copernicus ?

L’homme n’a pas d’autre alternative que de réexaminer toutes les bases de sa culture et d’apprendre à repenser depuis le commencement. Il n’y a pas de solution facile, et beaucoup de conventions qu’il chérit doivent être rejetées à mesure que le Monde ancien fait place au Nouveau.

Nous vivons dans un monde changeant, passionnant, dans lequel paradoxalement, les perspectives les plus brillantes et les plus chargées d’espérance pour l’humanité voisinent avec les dangers les plus noirs. (L’Univers Inhabité, de K. W. Gatland).   

Si vous êtes un homme de science moderne et assez modeste pour être d’accord avec l’auteur de ces lignes, permettez-moi de vous offrir notre Principe Unique ; un Principe vieux de milliers d’années et cependant encore vital, et vivant, et présent dans la vie de chaque jour de centaines de millions d‘orientaux.

Le Principe Unique nous append à penser et à juger correctement. Selon notre logique universelle, il y a deux catégories de pensée complètement différentes : 1ère . « Omou », manière de penser de façon relative aux choses, choses dans ce monde de relativité ; 2ème « Kangaeru », manière de penser dans l’univers  de l’infinité (dont notre monde de relativité est un point infinitésimal).

Pour ces deux catégories de pensée, notre vieille philosophie n’offre qu’un seul instrument : la dialectique moniste polarisable de YIN-YANG, le Principe qui fut symbolisé dans le «  Tapis magique » , dans « La Lampe d’Aladin », par « Sésame ouvre-toi, Si-Yuh-Ki », et beaucoup d’autres histoires de l’Orient.

G. OHSAWA - 1964
Fin de l’article : « La vie est un songe ».   





QUESTIONS ET PENSÉES YIN-YANG SUR LE TEXTE

Il faudrait bien entendu expliquer la trame sous-jacente du texte de G. OHSAWA ; certaines tournures de phrases ou métaphores pour les personnes néophytes, ceux qui commencent la pratique de cette philosophie, ou pour ceux qui s’y intéressent intellectuellement ou philosophiquement. Des expressions qui peuvent leur paraitre simplistes ou contradictoires.
Il faut donc relire au « deuxième degré » ou avec le Compas dialectique qui ouvre la profondeur existentielle et philosophique du texte.

Par exemple, j’ai déjà cité l’acte paradoxal du primitif. Il réalise un rêve dans lequel il voit l'étranger lui voler et il décide de donner ces  biens précieux à ce "voleur" !
Cela parait aberrant : un quidam qui rêve qu’untel va le voler ou le piller, va au contraire augmenter sa méfiance et fermer à triple tour de clefs sa maison pour protéger ses biens ! Ce primitif semble alors soit un dupe soit atteint de troubles psychologiques.

Dans cette courte expression de G. OHSAWA, c'est presque une double synthèse suprême. La première, le fonctionnement du cerveau psychique du Primitif dans sa stratégie existentielle. La seconde, c'est toute l’histoire des colonisations insatiables et meurtrières par les européens, les occidentaux, dans les pays des "Primitifs" : Afrique, Moyen-Orient ; Extrême-Orient ; Pacifique.

Mais non ! Pour l'Homme naturel, le Primitif, le rêve n’est pas un songe mais bien une réalité issue de la Mémoire Infinie (divine). Elle le convoque et lui signifie les actes de « bonnes conditions » à réaliser pour l’évolution de sa propre destinée.

Et c'est complétement contraire ou hétérogène aux interprétations occidentales du "rêve"; car celui-ci ne serait qu'un fantasme onirique, une lubie agréable ou désagréable, une expression sans foi ou sans réalité significative.

Et selon le psychanalyste S. Freud, pour qui le rêve ne serait que le réarrangement des restes diurnes ou la fonction d'un désir pulsionnel.
S. Freud n'a jamais compris la fonction profonde du rêve, il écrit : "Le rêve est le gardien du sommeil" et "Le rêve est la réalisation d'un désir". Quel aveu de son inexpérience dans le travail de rêver et la fonction métabiologique dans le rêve contrôlé.

À nous de réfléchir au sens profond de l’Esprit Oriental primitif qui vit dans un monde que l’on peut appeler : EREWHON. C’est le monde « rêvé » de Samuel Butler, qui fut berger dans sa jeunesse, équivalent à celui de Lewis Carroll qui le précéda dans son œuvre avec « Alice aux pays des merveilles ».

Autre exemple. « La philosophie Orientale enseigne la négation du moi ». Mais si l’on efface le moi que reste-t-il ? Ne sommes-nous rien ? Il ne faut pas confondre le déni de l’identité, du moi, qui est l’état schizophrénique et la maitrise de son moi.
Cette « Réfutation » sert la nécessité de passer d’abord par la « négation du moi » c'est à dire ranger son ego, le petit moi, là où il doit être, c'est à dire dans sa cabane de gardien et lui faire appliquer les tâches strictement assignées à son niveau.
Le moi-égo ne doit jamais prendre la gouvernance de la Vie de l'Homme.
Une fois fait ce travail, « rencontrer » son Moi spirituel afin qu'il regagne sa place souveraine, sa place régalienne.
En résumé, notre égo est rangé dans sa « cabane » tandis que notre vraie identité, qui se déploie dans le « travail » de la Voie prend la forme d’un Moi spirituel infini…
 
Autre exemple. G. OHSAWA parle de « La dialectique moniste polarisable de YIN-YANG, le Principe qui fut symbolisé, dans le «  Tapis magique », dans « La Lampe d’Aladin ».
Après avoir mis à bas la puissante et légendaire théorie darwinienne sur l’évolution des espèces, il propose une sérieuse révolution de la science occidentale et un changement de toute la civilisation, en s’appuyant sur un Principe Unique. Et ce Principe est lui-même représenté par des « histoires symboliques » tels qu’un « Tapis magique » et « La Lampe d’Aladin ». En apparence pour le commun des mortel ceux-ci ne sont que des divertissements imaginaires ou des contes pour enfants !

Pour un scientiste bien formaté, au "cerveau triangulaire", et obsédé par sa carrière parmi ses compères, c'est, soit de l'ironie (parce que cet auteur parait intelligent) soit de l'arrogance candide.
Mais non, le monde de la science moderne s'écroule et ne peut répondre à aucune, des questions, des problématiques, posée il y a déjà 2800 ans par les anciens grecs (pour rester dans la référence occidentale), et aucune solution aux catastrophes qui "tombent du ciel" comme la grêle !
Tiens ! Si ça vient du ciel, prions Dieu (contrairement à ce qu'on pense, de nombreux scientistes occidentaux sont de bons catholiques ou protestants, discrets ...).

Donc voilà encore un autre paradoxe métaphorique issu du Principe Unique : des contes magiques, un « Sésame ouvre-toi », etc… qui servent de modèle à une très ancienne philosophie et science des Écoles orientales pour corriger la toute-puissante science analytique, souveraine, et rénover les bases et les conceptions de la civilisation sophistiquée actuelle.

Voilà ce nous propose G. OHSAWA pour passer ce monde ancien en train de mourir, parce que dès le départ la voie qu’il a empruntée était erronée, faussée, et même insensée.
Il nous professe de constituer un monde Nouveau avec le modèle du Principe Unique YIN-YANG qui nous apprend à penser intelligemment et spirituellement : Kangaeru.
Bien mieux que la méthode de Descartes (mort épuisé dans les « ébats » excessifs avec Christine de Suède, une dame de feu très portée sur la "chose"…) ;
et bien mieux que celle des physiciens einsteiniens qui confondent relativité et Infinité ;
et bien mieux que celle des biologistes généticiens daltoniens qui font du génome vivant et inconstant une nouvelle religion atomiste.

Enfin il nous donne une terrible prévision, en 1964 (!) : « Nous vivons dans un monde changeant, passionnant, dans lequel paradoxalement, les perspectives les plus brillantes et les plus chargées d’espérance pour l’humanité voisinent avec les dangers les plus noirs. ».

Voilà un texte que j’ai choisi parce qu'il entre pleinement dans la pédagogie du modèle dialectique du Principe Unique qu’est venu nous offrir le Professeur G. OHSAWA dans la continuité de son œuvre engagée fondamentalement il y a maintenant près de 2000 ans (et depuis bien plus…).




10 QUESTIONS AUX CHERCHANTS POUR ALLER PLUS LOIN DANS LA PHILOSOPHIE DU PRINCIPE UNIQUE
Par ordre de difficulté de 1 à 10.

1. Peut-on produire du Rêve par des techniques ou des consommations alimentaires ? Comment ?
2. Le Rêve se déclenche-t-il avec une alimentation trop YANG ou trop YIN ? Pourquoi ?
3. Pourquoi les produits animaux produisent-ils des cauchemars ?
4. Quels menus du tableau du Zen Macrobiotique prédispose aux mécanismes du rêve ?

5. Comment savoir si la vie que nous menons est un songe ou la constitution de notre vraie destinée, notre pacte de vie ?
6. N’avez-vous jamais rêvé en pensant ou agissant comme dans la réalité quotidienne ?

7. Si une nuit dans notre sommeil ou dans notre contemplation, un être nous montre que notre vie n’est qu’un songe, comment saurons-nous que nous ne sommes pas en train de rêver à un songe ?

8. Le monde Réel est-il ici dans la vie quotidienne ou dans la dimension du Rêve ? Pourquoi ?
9. Le progrès dans la faculté du Jugement, est-il de substituer un rêve par un autre rêve plus virtuose pour avancer ? Le processus du rêve joue-t-il un rôle dans l’évolution du Jugement ?

10. Sommes-nous dans un univers qui n’est qu’une illusion fabriquée ou cultivée artificiellement, par des êtres supra-intelligents ou par le flux des énergies humaines (et autres…) dans une chaine générationnelle sans fin, de génération en génération ?

Ad vitam aeternam.

L. DEYNE

 










mercredi, avril 24, 2024

ANNIVERSAIRE DE GEORGES OHSAWA
24 AVRIL 2024
1ère Partie

ANNIVERSARY OF GEORGES OHSAWA
APRIL 24, 2024
Part 1


Georges J. OHSAWA

Texte édité le 24 Avril 2024.

Text Published on April 24, 2024.

This text will soon be completely translated into English for all our native English-speaking friends.



GEORGES OHSAWA : UN PROJET SANS FIN

Georges OHSAWA né en 1893 à Kyoto, était un Philosophe, un Docteur thérapeute, un sage suprême, qui a vécu autant en Orient qu'en Occident tout au long de sa vie au 19ème et au 20ème siècle. Sa vie terrestre qui s’est terminée le 24 avril 1966, il y a 58 ans. Mais il est toujours présent par l’œuvre qu’il a laissée et la présence mémorielle accessible à tout Pratiquant qui s’en donne les moyens.


G. OHSAWA est le Créateur-Fondateur de la méthode nommée par lui Macrobiotique, ses concepts modernes et ses techniques à la fois nutritionnelles et culinaires.
Cette DIÉTÉTIQUE MACROBIOTIQUE n'est qu'une application du PRINCIPE UNIQUE comme il le dit systématiquement ; elle est avant tout une nutrition extrêmement efficace et affinée ordonnée par une science énergétique : le COMPAS YIN-YANG.

Elle est une praxis (pratique) remarquable pour recouvrer puis atteindre d’abord un niveau de santé optimal, physique et mental.

Puis dans sa pratique intelligente elle permet d’entrer dans la perception psychoénergétique du PRINCIPE MACROBIOTIQUE. Stade que l’on peut appeler 2ème Phase dans l’Expérience du principe de cette méthode.

Et dans une troisième phase, le potentiel acquis dans ce Principe Macrobiotique permet d’ouvrir et d’approfondir une philosophie millénaire qui a pour racine les Écoles d’Orient : origine de toutes les philosophies dans l’histoire humaine.

Incontestablement, cet Art du Principe Macrobiotique augmente la fréquence psychique et spirituelle du Pratiquant et lui permet d’acquérir progressivement les différents degrés d’intégration du Champ de la Conscience Ultime : le JUGEMENT SUPRÊME.


L’intégration progressive de ces trois phases sont le seul véritable but pragmatique, moniste et spirituel du Professeur G. OHSAWA.

(voir dans ce site : Vie Macrobiotique et Philosophie du Principe Unique, La Voie Macrobiotique, Les Trois Phases Essentielles, Oct 2022).
En principe, atteindre un état spirituel le plus haut est donc le motif essentiel de la Philosophie du Principe Unique selon G. OHSAWA.


G. OHSAWA a inventé et perfectionner à l'excellence une nouvelle interprétation des anciennes philosophies et médecines orientales qu'il a modernisées et nommées PHILOSOPHIE ET SCIENCE D'EXTRÊME-ORIENT.

Dans cette Philosophie et Science d'Extrême-Orient se CONJUGUENT toutes les SOURCES ou les DESSEINS des anciennes philosophies et écoles orientales que vous rencontrez ou rencontrerez sur la VOIE que trace le Principe Macrobiotique et le Principe Unique de ces Écoles réputées depuis des millénaires en Orient comme en Occident.

G. OHSAWA a quitté ce monde le 24 avril 1966, il est, pour les avertis ou les connaisseurs, dans l’Expansion Infinie, à l’origine de toutes créations. Il participe à la continuité de ses créations. Il est donc présent mais dans une forme si « indéfinie » qu’il faut atteindre soi-même des dimensions de hautes fréquences pour le joindre essentiellement.

Il nous encourage et nous dit dans le Zen Macrobiotique : « Je serais très heureux si vous pouviez utiliser ce livre comme passeport vers le Bonheur, ne serait-ce que pendant dix jours. Si vous voulez vous sentir heureux, libre et plein de vigueur en suivant ces règles vielles de plus cinquante siècles, vous pouvez vous mettre en rapport avec moi en tout temps et en tout lieu, je réponds au téléphone sous le nom de « Foi ». » ; (
Le Zen Macrobiotique, édition Vrin, p. 47).

Non ! Il n’est pas joignable, malheureusement pour les aficionados, avec un smartphone ni par « toktok » ou par « QQ », ou par « XX » et encore moins par n’importe quel autre appareil fantasmatique même numérique ou fétichiste sortis de la tête de certains jeunes mécaniciens du transistor. Même s'ils se prennent pour les génies de la communication, de la relation humaine et même pour des Noé prêts à refaire un « nouveau » monde zombiforme.

D’ailleurs ces mêmes « génies » de la « Silicon Valley » font exactement le contraire dans l’utilisation de leurs produits ou leurs théories bifides. Ils éloignent tous ces objets hors de chez eux et de leurs familles !
On dirait qu’ils ont fabriqué de bric et de broc une "religion" à laquelle ils ne croient pas du tout sauf dans le rapport au capital qui les engraisse.

 
Il faudrait développer longuement ici ce qu’est l’IA (intelligence artificielle) dont le vrai nom est « Informations Artificielles = IA », mais cela n’est pas le sujet. Elle n’est qu’une programmation maniaque et illusoire dans sa forme. Elle n’a aucun fond et aucune portée pour le bien-être et l’évolution humaine. Ceux qui l’ont bricolée et définie (car c’est un bricolage mécaniste) ont la cervelle et leur système nerveux concassés par les « Mac & Cheese », les pancakes, les sodas et les patates.

Mais vite un stage Macrobiotique de 30 jours leur permettrait de vite comprendre la chimère sans âme, le Frankenstein numérique qu’ils ont fabriqué avec des transistors, des diodes et des kits logiciels pour rejetons.
Mais cette IA connue depuis plus de 50 ans dans les laboratoires de recherches en sciences humaines expérimentales et en programmatique est à la mode.
Elle est exactement un symptôme révélateur de l'état du monde dans lequel nous vivons actuellement: un monde de l'Homme-machine.



LA FOI DANS LA VIE DU PRINCIPE UNIQUE  

Après ce YIN extrême revenons au vrai YANG vivant et fécondeur : la vraie FOI !
Ce n’est pas nécessaire de manger des grains de moutarde ni de prier les "saints patrons" pour avoir La Foi.
Vous pouvez allumer une bougie si vous le souhaitez, le Feu est YANG et il rappelle toujours les premiers temps de la Mémoire Humaine.
Mais la vraie Foi n’est pas la « croyance » ou le « sacrifice » d’un animal pour tenter d’apitoyer un dieu ou un ange.
 
La Foi dans notre Principe Unique c’est d’abord une compréhension progressive, une clarté du principe YIN-YANG en toutes choses. Et, vient alors la faculté du Jugement qui évolue. La certitude de la fonction de l’Esprit. Le Jugement qui se dévoile. Qui se découvre. Ce Jugement (qui est un autre nom du Champ de la Conscience) qui passe par différentes dimensions et atteint sa perfection universelle.

La « Foi » sans l’implication du corps n’est rien pour l’Âme. Quand la foi est dissociée du corps, cela devient une croyance, une théorie, une conception abstraite, une bigoterie, et elle n’intéresse pas l’Âme.

Or, l’Âme spirituelle est le véhicule de la vraie Foi si celle-ci est connaissance et expérience de Soi, de l’Autre, de l’Univers.


Le frein contre la Foi doit être chaque jour relâché progressivement afin qu’elle brille dans sa vraie pureté et qu’elle s’exprime : Connaissance, Certitude, Humilité, Gratitude et Service.


G. OHSAWA, ou l'ORDRE de l'UNIVERS, est joignable à tout moment par cette FOI authentique, ce n’est pas une métaphore, une supposition, mais un acte réel, une opération scientifique factuelle de l’esprit.


Ceux qui disent avoir la foi, ou la prêche, et qui font dans leur petit coin le contraire, sont des hypocrites, des sépulcres blanchis, des délinquants.


Si vous avez du mal à comprendre le sens de ces formules, pratiquez le N°7 ou le N°6 et lisez dans ce site les chapitres sur : « LA VOIE, LA PRATIQUE MACROBIOTIQUE, SON PRINCIPE, SA PHILOSOPHIE ».


Dans la phrase : « … Vous pouvez vous mettre en rapport avec moi en tout temps et en tout lieu, je réponds au téléphone sous le nom de « Foi » », existe une réalité qui est accessible à tous à condition d’avoir l’intention et d’en faire l’Expérience par la Pratique.


L'ORDRE de l'UNIVERS est la seule grande école éternelle !
G. OHSAWA nous explique l’importance de ce livre vital et accompli : « Ce guide de votre vie est plus que suffisant dans cette grande école. Je n’ai jamais fait de livre qui réponde à autant de questions, bien que j’en aie écrit plus de 300 en japonais. » ; (Le Zen Macrobiotique, édition Vrin, p. 47).




LE SONGE D’UNE NUIT OU LA VIE INSTANTANÉE

Ces brèves présentations et démonstrations faites, je vous propose pour cet anniversaire, un texte précieux de G. OHSAWA, écrit en français, en 1964 : « La Vie n’est qu’un songe ».
Je le diffuse dans ce site en deux parties.

Je le traduirai entièrement pour nos très chers amis américains, assidus et conscients de l’enseignement de G. OHSAWA ; ceux qui n’ont pas cédé au chant des sirènes spectaculaire et exotérique, et aussi pour tous nos autres amis anglo-saxons, qui s’efforcent de pratiquer le Principe Macrobiotique selon leur style dans cette vie et les autres suivantes…

Le songe dans la définition du dictionnaire est : « Combinaison d'images qui apparaissent dans l'esprit pendant le sommeil. Faire un songe - Vue de l'esprit – Chimères - Illusions ou vaines imaginations ».

Le titre finement choisi par G. OHSAWA est clair au premier degré : la vie ne serait qu’une « illusion » qui n’a pas de réalité, sauf à celle qu'on lui donne. C'est à dire une période fantasmatique dans laquelle le sujet a cru faire des choses vraies, palpables, et même des projets pour son bonheur personnel.
Mais cela s’est envolé en fumée dès le "réveil" : cette vie que le sujet a vécue n’était donc qu’un fantasme, un songe.


La formule de W. Shakespeare
William Shakespeare a joué avec cet expression du songe et de sa sémiotique, il a écrit et mis en théâtre : Le Songe d'une nuit d'été (A Midsummer Night's Dream).
Une comédie qui met en scène des personnages humains et mythiques (frontière effacée entre le réalité sociale et le monde irréel) qui s’entrecroisent dans des enjeux amoureux et théurgiques (magiques). Tout se passe dans une forêt étrange (souvent le lieu des apparitions et des imaginations). Le temps d'une nuit du mois de mai (une nuit comme le temps d’une vie) dans une période YANG qui est le mois de mai).
YANG à l’extrême produit le YIN de la fiction.


En fait, il invoque un demiurge facétieux, véritable auteur de toutes ces scènes, qui font songer au « dormeur » que ce monde est réel lors d'une nuit de la Saint-Jean (nuit dans la tradition anglaise qui augmenterait les facultés oniriques).
Ce demiurge semble agir dans le monde relatif, sensible, dans lequel nous vivons physiquement, et il nous pousse à chaque instant à boire cette boisson magique qui nous fait croire que le songe de ce monde est Réel.


Shakespeare, lui-même rêveur invétéré et grand amateur d’érotisme, démontre dans cette comédie combien la vie est vaine, elle n’est qu’un songe et prend comme thème le mariage, période la plus sensible car la plus « joyeuse » et puissant marqueur social pour les êtres ordinaires. Il se moque de la futilité et des faux espoirs des sujets de ce monde qu’il pense lui-même comme n’étant qu’un songe.



Une petite histoire de l’après-songe
Le songe serait donc un acte crucial dans cette vie, mais que pourrait-t-il advenir après celle-ci ?
Après le « réveil » le sujet (homme ou femme) se perçoit dans un monde inconnu et hermétique. Il est perdu. Il ne comprend pas où il est : « Est-ce cela le paradis ou l’enfer ! Mais ça ne ressemble pas au paradis, ni à l’enfer, décrit par les prêtres ou les vicaires ! Où suis-je ? Je vais me réveiller ».
Il continue ses cogitations : « Suis-je dans un songe ou est-ce un autre monde réel ? Ou avant j’étais dans un songe pourtant c’était vraiment réel ! Les savants scientifiques démontraient qu’il était réel ».


Profondément inquiet, il essaie, ou elle essaie, d’appeler sa maman, sans réponse ; il appelle son père, son meilleur ami, sa grand-mère ou son grand-père, sa sœur, le curé, le docteur, son chien ou son chat, et enfin il appelle sa femme ou elle appelle son mari.... Et personne !


Il décide de faire valoir son statut : je suis un homme, une femme, important(e) ; je suis un grand professeur ;  je suis le génie Einstein ; je suis le professeur Freud ; je suis le grand Pasteur ; je suis prix Nobel ; je suis un héros de la guerre ; j’ai inventé la pénicilline, le vaccin, les antibiotiques, l’insuline, la bombe atomique, la guillotine, etc... ; je suis un grand docteur ; je suis un grand révolutionnaire ; j’ai des relations importantes ; je suis milliardaire et j’achète comptant toutes les indulgences ; je suis président d’une grande fondation ; je suis une star du cinéma, de la chanson, etc... ; je suis le père de l’iPhone ; j’ai des millions de followers qui m’écoutent ;  je suis président de la république ou j’ai été le président de mon pays ; je suis un haut magistrat ; je suis un prêtre de dieu, un grand évêque ; je suis le pape ; etc… Personne ne répond !


Les appels, les réclamations, les requêtes, les prières, se dissipent dans un vide sidéral… Une angoisse obscure envahie le ou la pauvre hère.  

Puis un éclair d'intuition traverse son esprit, donc « Je suis dans un songe, j’attends de me réveiller… » se dit-il ou se dit-elle.

Un long temps passe, rien, le vide, le silence, l’absence. Après l’angoisse, la panique commence son ouvrage avec une ébauche de conscience, d’intériorité en lui-même ou en elle-même: « Où suis-je vraiment ? Que suis-je ? », commencent alors à se former distinctement dans la psyché du sujet ; etc…

J’arrête ici ce passage post-mortem de celui ou de celle qui a quitté le monde relatif et est en médiation entre deux mondes.

Où est le songe de l’existence vécue ? En NOUS évidemment.


Et que deviennent les Oniroscopes ?
Grégoire de Nysse (4ème siècle av. J-C), faisait partie du clan des patristiques, ce sont les « pères » défenseurs de la théocratie chrétienne, celle qui a inventé la trinité et un jésus divinisé, non humain donc pas homme ni naturel ni charnel.

Né dans une très riche famille, dont il a promu les relations publiques et politiques de ses sœurs et frères au plus haut niveau, Grégoire est un pur produit de la technocratie politico-religieuse. Il a tenté de faire de sa formation catholique auprès de Basile, frère et évêque impartial, une forme de mystique, et même une gnose, mais gentille et surtout adaptée aux commandements de l’OCR naissante (organisation catholique romaine).


Mais il a surtout développé un curieux trucage, une systématisation intellectuelle manipulatrice. Il a repris les idées des anciens philosophes grecs, Pythagore, Parménide, Platon, Aristote, les Stoïciens, et Plotin l’incontournable, pour tisser un lien qu'il a appelé « scientifique ou logique » entre l’intelligence philosophique des anciens chercheurs grecs et le système que propageait l’OCR. Tout cela pour donner une crédibilité au système religieux falsifié afin de faire conquérir le pouvoir sociopolitique à cette organisation. Il a été canonné père des pères de l’OCR et puis « docteur de l’univers »… rien que ça.


Il est entré dans l’histoire de cette organisation comme un des pères de sa fondation en développant le dogme de celle-ci qui est l’artifice et l’opposé du véritable enseignement de Jésus de Nazareth.

Depuis une vingtaine d’années, plusieurs chercheurs, en théologie, en anthropologie religieuse, en histoire des religions, en politologie des religions, en exégèse, démontrent les nombreuses falsifications et impostures des actes et des écrits de cette organisation "chrétienne" romanisée, depuis le début à nos jours, qui ont été propagés à toute la planète pour constituer un monopole ; il suffit de lire leurs recherches.

Ce Grégoire était un adversaire farouche des Oniroscopes, ce sont ceux qui explore et cherchent à contrôler leurs rêves comme étant une autre réalité que celle vécue dans la société.
Le travail du Rêve comme tremplin pour d'autres mondes...

Il expliquait que les songes étaient juste un « ébranlement passager des facultés de l'âme » à cause des résidus des émotions qu'on venait de ressentir. C’était presque un Freudien. Ou le contraire : Freud aurait encore copié les anciens lettrés. Grégoire comparait l'esprit de l'homme qui a un rêvé à la « corde de la harpe qui vient de jeter un son et qui vibre encore lorsque le son s'est évanoui ».


Il n’était surement pas au courant des nombreuses hallucinations oniriques de différents prophètes dans l’histoire biblique : Jacob ; Ézéchiel ; Moïse ; Elie ; Noé ; Jonas ; Daniel ; etc…. Ces prophètes « songeaient » beaucoup, ils attribuaient aux « Rêves hallucinatoires » une autre portée et valeur qui n’étaient surement pas dans la même dimension que celle de Grégoire le béotien.

Pauvre Grégoire… Il ne comprenait rien à la fonction du RÊVE, c’était pour lui un acte limite, charnel, défendu et même diabolique. Il est dans un des cas décrit au-dessus.
Il confondait le songe, comme illusion, et le Rêve, comme acte psychique d’une réalité, d’une fonction spirituelle. Mais comme militant frénétique il fallait aussi entretenir les fables dogmatiques propagées par l’OCR et tenir fermée l’imagination inspiratrice des petites gens, des simples et des blâmables.



Le RÊVE pouvait révéler des « choses » proches de la Gnose ou des éléments d’une Science de l’Esprit mais aussi d’un retour au véritable enseignement de Jésus de Nazareth.
Les sorcières sont devenues ensuite dangereuses car elle « volaient » dans les airs et pratiquaient la théurgie, la magie par les images mentales donc apocryphes et diaboliques.
 
Le songe employé dans l’écrit de G. OHSAWA est bien la forme d’une réalité fantasmée dans le monde ordinaire tandis que le vrai Rêve qui est un don prééminent attribuée à tous les êtres vivants mammifères (mais cette élection aux seuls mammifères de ma part n’est pas certaine).

Le Primitif, d’après G. OHSAWA, est un excellent rêveur et considère le RÊVE comme un acte de réalité prémonitoire ou existentiel.

Dans le texte suivant G. OHSAWA nous dit : « Il peut donner (le primitif) sa citrouille favorite et précieuse, ainsi que son maïs à un étranger, parce que dans un rêve il a vu l’étranger en train de les voler et de les manger. ».
Voilà une belle leçon de la valeur du rêve et de son épiphanie qui est la réalisation des images spirituelles ou visions métapsychiques dans le monde relatif, sociétal.


Et maintenant lisons et apprenons l’Art d’enseigner le PRINCIPE UNIQUE du professeur G. OHSAWA (1ère partie).


                *******



                LA VIE N’EST QU’UN SONGE
              G. OHSAWA


Telle est la conclusion de ce mathématicien réputé qui écrivit l’histoire si charmante d’Alice au pays des merveilles. Bridgman, Einstein, Oppenheimer, etc…, acceptaient-ils et étaient-ils satisfaits de cette conclusion ?

Les Orientaux sont beaucoup plus avides et voraces. Nous acception cette conclusion mais cela ne met pas un point final à notre recherche. Nous acceptons, et cette acceptation est le commencement. « La vie n’est qu’un songe » est, en réalité, notre point de départ. Un peu comme Ton Sawyer de Twain, nous recherchons le plus rêve de l’homme, ensuite nous essayons de nous emparer de la lampe d’Aladin en vue de réaliser notre rêve pour toujours. Naturellement, notre rêve est simplement le bonheur éternel consistant dans la liberté infinie, la justice absolue. Notre lampe est le Principe Unique.

Cette attitude parait semblable à celle de Disraeli qui a dit : « La vie est trop courte pour être petite ». Mais elle est complètement différente en réalité. Je peux traduire cette attitude comme : « La vie est trop grande pour être petite ». Mais par vie nous entendons l’Expansion ad-infinitum. Nous ne pouvons jamais être trop grands dans cette Infini.

Celui qui est le plus grand dans le monde fini de la relativité, est en réalité le plus petit et le plus insignifiant dans l’univers de l’Infini. Nous sommes honteux d’être grands dans le monde de la relativité, un monde si infinitésimal, si illusoire. Plus grande est la réputation dans le monde de l’illusion, plus grande est la difficulté dans la recherche de la Voie qui mène à l’univers de l’Infini.

On nous enseigne d’être petit, battu, imparfait, faible, méprisable ! Jamais à être le premier, mais le dernier. À ne pas protester, bien que nous soyons accusés ou négligés. À reconnaitre notre petitesse, notre faiblesse, notre ignorance, notre arrogance et les crimes que nous avons commis, même ceux qui sont advenus par ignorance. Ce n’est que grâce à notre petitesse et notre insignifiance que nous pouvons espérer ^être grands et infinis. Nous faisons de notre mieux pour approfondir notre compréhension, notre savoir, notre Jugement si bas, désespérément, pour parvenir au Satori, la réalisation de soi, l’illumination, la libération du relatif dans l’univers infini, où nous pouvons jouir de la liberté infinie et du bonheur éternel.

C’est ainsi que nous sommes éduqués en Orient. Notre petitesse et notre insignifiance est notre point de départ. C’est la philosophie orientale, la philosophie occidentale enseigne l’importance positive et la supériorité de l’homme. La philosophie oriental enseigne la négation du moi. Et la fin de notre enseignement est l’inverse, ; l’enseignement oriental arrive au positivisme infini. Tandis que l’enseignement scientifique occidental est obligé de se heurter à ce qui n’a pas de sens, au « nulle part « , malgré l’importance et la supériorité inculquées par l’éducation, elle doit de-ci de-là battre en retraite honteusement.

L’Homme primitif adore le soleil, la lune, les étoiles, les arbres et les animaux. L’homme moderne a tué son vieux Dieu et maintenant en adore un nouveau : la science. La science, qui enseigne une nouvelle idée sur l’origine de la vie, rejetant complètement l’idée de la création.

Quelle est la différence  entre la compréhension de l’homme primitif et celle de l’homme moderne ? Quelle la différence entre leur vie quotidienne ? Tous deux ont leur Dieu ; il n’y a pas de différence en apparence, mais un gouffre profond sépare leur mentalité. Certitude-incertitude, joie de vivre-angoisse, gratitude-peur, satori-destruction totale.

La mentalité primitive est modeste , elle est l’humilité même. L’homme primitif est ignorant et innocent. C’est pourquoi il est moins criminel. Il commet très peu de crimes sociaux parce qu’il vit avec son Dieu, côte à côte, nuit et jour. Il fait de longs voyages en chassant, sans fermer à clef sa maison.  Il peut donner sa citrouille favorite et précieuse, ainsi que son maïs  à un étranger parce que dans un rêve il a vue l’étranger en train de les voler et de les manger. Il peut se détacher facilement de tout ce qu’il possède. (Il y a des centaines d’exemples semblables tirés de rapports de missionnaires compilés dans le fameux livre de Lévy-Bruhl : « La Mentalité Primitive »). Le primitif n’a pas le concept de la possession, parce que son moi n’est pas individuel, mais collectif.




Fin de la première partie de « La vie est un songe ».   


L. Deyne

dimanche, avril 07, 2024

LA VOIE THE WAY

LA VOIE
LA PRATIQUE MACROBIOTIQUE,
SON PRINCIPE, SA PHILOSOPHIE
Partie 8

THE WAY
THE MACROBIOTIC PRACTICE
ITS PRINCIPLE, ITS PHILOSOPHY
Part 8

 . Écrit le 07 Avril 2024.
. 18.04.2024 : un petit texte a été ajouté aux trois images du chapitre.
. Written on April 07, 2024.
04/18/24 : a small text has been added to the three images in this chapter.


Le cyclique des huit Bouddhas. Bouddha (Nyorai en japonais) est un terme qui désigne un Homme qui a obtenu l’Éveil.
Après avoir parcouru de multiples voies rudimentaires ou incomplètes, il découvre et s’éveille à La Voie du Principe Unique.
Puis, le Pratiquant, après avoir accumulé une Expérience de principes de vie optimale selon l’exactitude de l'ORDRE de l'UNIVERS, réalise l’ÉVEIL.

Voir le développement dans un prochain chapitre : " Zen Macrobiotique et Bouddhisme."



LE PRINCIPE MACROBIOTIQUE ET SON VÉHICULE METABIOLOGIQUE : RÉCAPITULATION


Nous avons vu dans les parties précédentes, la découverte consciente du Principe Macrobiotique, de son sens véritable en tant que principe de santé authentique pour se constituer en un corps métabiologique et entrer dans le cœur de la deuxième Phase.


Cette Phase médium ouvre à trois découvertes.

1. Celle de la constitution-conception de la Conscience comme un compas pragmatique autant dans le monde relatif que dans le labyrinthe du monde invisible. La Conscience est RÉELLE, elle est comme un « appareil » que l’on peut examiner contempler mais aussi une source d’énergie que l’on peut utiliser.

2. Celle du Moi-psychique qui est notre véritable double, notre allié qui nous guide, nous réconforte, nous conseille. Il nous fait pénétrer et utiliser le monde de l’énergie mentale : la Sphère psychique mentale.

3. Celle du monde de la Mémoire des Formes présentes et anciennes de notre Histoire Personnelle. Une part de cette Mémoire contient toute notre histoire. L’énergie de la Conscience et le Moi psychique sont un propulseur et un véhicule pour voyager dans notre histoire et visiter les différentes Formes que nous avons habitées.

 

Le véhicule métabiologique du Principe Macrobiotique n’est ni ésotérique ni un songe mais très pragmatique et constitutif de la Vie Réelle. C’est un « Corps » comme le corps physique mais qui possède des facultés différentes et qui ne sont pas perceptibles par les sens, l’émotion ou la cognition.

Ce n’est pas un corps « subtil », ni « mental », ni « émotionnel », ni « etc.….. », comme le prétendent les marchands de sable et les diseurs de bonnes aventures…

C'est un « Corps médium » qu’utilise le Moi-psychique pour agir sur le corps physique, le corps organique, son homéostasie ubiquitaire, sur toutes les fonctions vitales, et sur nos actes de tous les jours, nos décisions, nos résolutions.

 

Ce corps métabiologique millénaire (préhistorique) participe aussi à la construction de notre histoire personnelle en accord avec notre Moi psychique pour assumer notre Pacte de vie (Voir « Anniversaire de G. OHSAWA ; Avril 2020  » ; Voir « Anniversaire de G. OHSAWA ; Oct. 2021 » ; Voir «  Les questions examinantes de G. OHSAWA; Nov. 2019 »).

Ce pacte de vie est celui que nous avons pleinement accepter (que chacun « a signé ») avant d’entrer dans une FORME choisie délibérément pour incarner cette vie présente. Cette Forme est animée par notre Moi psychique, elle-même abrégée dans ce que l’on appelle la Personnalité.

 

Nous discernons les personnes qui nous entourent, famille, proches, amis, et toutes autres personnes en fonction de leur personnalité. Elle est perçue en grande partie inconsciemment et dans une petite partie consciemment. Entrer dans les arcanes secrètes de la personnalité c’est voir histoire personnelle de l’autre.

La personnalité est un ensemble de traits de caractère YIN et YANG qui forment une synthèse reconnaissable parce qu’elle est unique. Unique comme les empreintes digitales. En réalité, ces traits ou ces marques somatopsychiques (physiognomoniques) sont un agrégat de nos milliers d’attaches qui nous ont donné une forme sociale et psychique adaptées à notre nature et au milieu dans lequel on vit.

La personnalité vraie est constituée de l’expression sensible ou manifeste de nos attachements au monde.      




Vishuddha, vortex d'énergie appelé ainsi par les sages et métaphysiciens indiens.
Centre d'Énergie/Prana : puissance de vie du Principe Unique qui circule dans l'Être sous forme d'un "courant magnétique" ou champ de puissance vital.

Tout est SPIRALE dans le monde externe astronomique comme dans le monde incommensurable de la vie interne : systèmes, organes, tissus, cellules, corpuscules, particules quantiques, et ÉNERGIE YIN-YANG.

Ce vortex d’énergie, un des principaux (parmi des milliers d'autres secondaires) anime tous les Humains et nos jeunes frères les Animaux, dans nos rapports d'INTERDÉPENDANCE.
Nos antagonismes et nos synergies : empathies et trahisons, divergences et affinités, envie et gratitude, haine et amour sentimentaux, guerre et paix, sagesse et démence, ... C'est le vortex des ressources sociétales, de la Vie des Hommes dans leur relation-organisation, comme
celle des Animaux. C'est le centre métabiologique du Jugement Sociétal (bien que ce terme n'est pas très exact dans la clarté de cette dimension).
TOUT, absolument TOUT ce qui fait la Cohésion, le Développement et la Durée de vie d'une civilisation se trouve dans ce Centre d’Énergie
!
 
Dans le trajet énergétique, qu'à peine nous montrent les sages Indiens (secret dangereux et bien gardé), ce vortex est assigné au-devant des première cervicales; il vibre sur une fréquence de 16 radiations mais avec une multitude d'harmoniques qui s'entrelacent partant et entrant en volutes dans une spirale principale qui est perpétuelle même après la mort organique. Dans le domaine de la vibration sonore (musicale), il est dans la bande du LA = 432 Hz (et pas 440). Mozart, Bach, Verdi, se plaçaient sur 432 ; et quelques fois, Mozart et Haendel descendaient encore plus bas.

Chaque organe du corps "résonne" à une certaine fréquence, la somme gestaltique de tous les organes forme une fréquence spécifique : plus l'Homme est profond, métabiologique, sensible, YANG interne, plus sa fréquence ORGANIQUE va vibrer vers le 432 (9x48) ! Certains animaux ont des fréquences corporelles plus basse : bovidés ; éléphants ; girafe ; mammifères marins;  chat ; furet et rat ; ... Et aussi des hommes et femmes dans certaines cultures ( Bushmen ; Aborigènes ;...).
Plus basse la fréquence organique plus haute la fréquence spirituelle, la faculté du Jugement.
Cette fréquence 432 renforce le SNA (Ortho et Parasympathique) et tout le système endocrinien : le cortisol, la noradrénaline, la dopamine (en excès), baissent, tandis que la biosynthèse des endorphines augmente. C'est la fréquence véritablement humaine en symbiose avec celle de la Terre et du monde végétal (des études biophysiques l'ont prouvé) qui vibrent aussi dans ce biorythme. Il faut l’écouter pendant plusieurs heures et en état de jeûne ou en N°7 pour saisir cette fréquence dans son efficience vitale.
 
Chez toutes personnes ce vortex (Vishuddha) n'est jamais bloqué (comme tous les autres "chakras") mais il est ataraxique (endormi) chez les non-initiés. L’Expérience de principes de vie s'accumulant, alors la fréquence augmente et anime consciemment le Jugement à ce niveau, il s'incarne alors dans sa pleine conscience ; l'Être accède au cinquième Portail (Dimension).
Peu y arrivent mais tout est accessible pour quiconque s'investit pleinement. Pourtant, son intégration devrait être presque naturelle dans l'historicité du monde actuel. Le Principe Macrobiotique et une compréhension éprouvée ouvrent ce Portail.
Il est le centre, la ressource opérative de quatre axes ou habilitations : Psychisme (Moi psychique), Théurgie (Métaphysique), Société et Histoire (de tous les vivants).
L'image de ce vortex est une vue d'artiste descriptive, non réelle mais approchante dans sa schématique.


Cette recherche que j'ai commencé il y a une dizaine d'années demande un travail long et très expérimental, j'en donne ici quelques bribes.
     


L’ORDRE INFINI et l’INTUITION SUPRÊME

Dans l’avancée du Principe Macrobiotique

la FONCTION DU JUGEMENT se déploie chez le Pratiquant.

Son Jugement est l’axe transcendant qui parcourt

son corps organique, son corps métabiologique,

son Moi psychique, son Âme spirituelle.

 

Son JUGEMENT est l’âme de ses objectifs, le cœur de ses progrès.

Il est son curseur qui lui révèle le temps des prochains sauts (« spin »),

son abaque qui lui indique les distances de ses avancées,

et son « tensiomètre » qui lui donne sa fréquence et sa vitesse.

 

Son champ de la CONSCIENCE a atteint un degré plus étendu

et plus profond à la fois dans sa pensée

mais aussi dans la compréhension et l’appropriation

des mondes intérieurs et des mondes extérieurs.

 

La Foi intelligente, la Résilience immanente et la Clairvoyance

sont trois facteurs qui maintenant se déploient dans un rythme accéléré.

 

Il a abandonné cette Foi affective, superstitieuse,

de la dimension sentimentale précédente, le Credo.

Dès son franchissement et cet affranchissement,

dans ce nouveau monde de l’Âme intellective,

il possède la certitude de vivre, de demeurer,

au sein d’une immense Force immanente

une volonté illimitée, un ORDRE INFINI

qui surpasse toute chose, toute époque, toute puissance.

 

Il perçoit, respire, les fibrilles de cet Ordre de l’Univers

bien qu’il ne l’épouse pas encore dans sa parfaite harmonie,

mais il a intégré la FOI dans ses Lois et dans ses Arbitrages,

incommensurables, immanents, souverains et justes.

 

Cette capacité acquise dans la clairvoyance de son Moi psychique
lui impose d’accepter des niveaux plus intenses du principe de réalité
celui des épreuves existentielles ou chimériques.
Il vit dans le monde de tout à chacun, le monde relatif,
Il est dans ce même monde déliquescent autant que quiconque.

Mais quelles que soient l'époque
ou la civilisation dans le champ historique
il reconnait la nécessité d’intégrer l’Expérience des Principes de vie,
les épreuves qui viennent se confronter
à tout être vivant qui progresse.

Mais au contraire des gens ordinaires
il n’y a rien en lui qui l'affecte
jusqu'à l’altérer ou le déclasser,
comme la victime d'une fatalité,
d'un mauvais sort jeté, d'un dessein malchanceux.
Ces Principes de vie l’éprouvent, il les ressent, il les supporte,
mais jamais ils ne le désespèrent, ne le déchoient.
C’est là une importante différence de nature
une différence dans le style de Vie
entre le Pratiquant comparé à l’Homme ordinaire.

 

Nombre d’hommes et femmes dans le courant de leur vie

subissent de forts impacts traumatiques,

des coups durs, des conflits, des injuries,

tous induits par l’Expérience des Principes de Vie.

Les Hominidés restent dans la boucle de répétitions

des mêmes erreurs ou des mêmes obsessions,

presque indéfiniment ils ressassent,

souvent pendant toute une vie ou plusieurs vies.

 

Ce sont les mêmes affres sous des aspects bigarrés,

des apparences différentes,

mais ce sont les mêmes aenigma dans leur essence

qui se répètent dans cette même boucle linéaire,

parce que non répondus, non accomplis.

 

Ainsi ils restent figés dans cette compulsion d’un destin funeste

sans méthode, sans résolution, sans progrès,

sans le changement psychique ou spirituel qui leur soient demandés.

Ils ne cherchent pas à surpasser ces épreuves

mais à les refouler, les dénigrer, les désavouer ou les médire.

Ainsi les strates de leur Karman restent stagnants,

la « fixation » se sédimente dans leur Pacte de Vie,

et leur Histoire personnelle tourne en boucle.

 

Pour le Pratiquant, elles sont des aenigma de l'ORDRE de l'UNIVERS.
Dans son Jugement, à son niveau, ce sont des Messages,
qui lui sont envoyés, des « volontés »
qu'il n’a pas encore résolues
mais ses capacités neurobiologique
et métabiologique acquises
depuis de longues années de progrès
lui permettent de produire une faculté résiliente vitale.

 

Cette Résilience métabiologique lui permet d’organiser

la résolution de « l’épreuve » en deux temps.

Il l’atténue puis incorpore son enchainement dans un premier temps.

Dans un second temps, il crée un processus d’intégration, d’appropriation, 

qui déconstruit puis résout ces énigmes-messages. 

 

L’Expérience des principes de Vie est l'ensemble des facultés acquises,

facultés neurobiologiques, facultés mentales et facultés spirituelles.

Elle augmente la « sensibilité » consciente de notre monde interne

et développe une clairvoyance, sans discontinuité, sans difformité.

Toute clairvoyance est elle-même la manifestation psychique

de notre INTUITION suprême.

 

Cette Expérience vraie nous expose dans le monde externe,
dans ce principe de réalité du monde visible.
Dans le monde des vivants, Tout est exposé :
notre morphologie, notre identité personnelle,
notre sensibilité intérieure, notre ignorance,
notre laxisme, nos fantasmes,
nos phobies, notre importance personnelle ou arrogance.

 

Ce type d’expérience est la seule véritable EXPÉRIENCE
qui érode progressivement, notre masque, notre ignorance,
notre arrogance, nos illusions.
Elle opère dans un Travail laborieux mais elle les efface complètement.
Je l’appelle l’Expérience des Principes de Vie.


DES QUESTIONS DE PRINCIPES DE VIE DANS CE MONDE DU 21EME SIÈCLE


Le regard du PRATIQUANT devient instruit,
il est perspicace, sans artifice,
quelles que soient les époques de l’Histoire
et précisément dans ce 21ème siècle.

Dans son Jugement clairvoyant
il n’est pas un passager clandestin, un vacancier,
mais bien pleinement citoyen dans ce pays
mais vivant dans un monde double,
le vrai pays de l’âme intellective,
le Jugement intellectuel.

Les Formes personnelles, et certaines étrangères,
sont devenues préconscientes dans sa mémoire immédiate.
Elles sont remémorées clairement et progressivement
par son travail métabiologique à partir de sa vie cellulaire.
Par son avancée, ses progrès, sa pratique quotidienne,
le dévoilement de sa conscience
progresse dans la sphère de son Moi psychique.

Dans son état d’Homme ou de Femme
liés à l’Histoire Humaine, le vie immanente
des questions de survie existentielle
et d’importance anthropologique
émergent alors progressivement
de son Être, de sa pensée.

Comment la cognition des Hommes provoquent les changements ou les tournants de ce monde ?

Par quoi les Hommes sont gouvernés dans leurs pensées, leurs décisions, leurs paroles, leurs actes ?

Ce monde est-il dans une propension YIN ou une propension YANG ?

Comment est un monde dans un changement YANG ?

Comment est un monde dans un changement YIN ?

Ce monde est-il dans un bouleversement géoclimatique ou civilisationnel ?


Ce monde est-il en « perdition définitive » ou en transition ?

Ce monde est-il dans une extinction périodique, la fin d’un « grand » YANG ?

Ou bien est-ce un autre changement qui s’engage à l’échelle cosmique ?


UN MODÈLE ANTAGONISTE : LE REFUGE DES MILLIARDAIRES NAÏFS ET DÉLIRANTS ATTEINTS DU SYNDROME DE « FIN DU MONDE »


Dans le monde des milliardaires, surtout américains, des angoisses survivalistes sont en vogue depuis quelques années.
Par exemple, un informaticien sans véritable intelligence, devenu milliardaire s'est fait construire un immense complexe de luxe baptisé sur l'île d'Hawaï à plus de 250 millions d'euros (Cf. Wired).

Deux immenses habitations reliées par un tunnel qui amène à un bunker de 450 m2 avec en plus une trappe de secours ( !) et surveillées par plus de 20 caméras.
Cette construction à un réservoir immense d'eau, une parcelle d'agriculture et son propre approvisionnement en énergie. La porte d'entrée est en béton et en acier résistant aux explosions. Les entrées et sorties sont contrôlées par un système informatique.

Dans les habitations : des salles de sport, des dizaines de chambres, des salles de bains, des ascenseurs, des salles de conférences, des bureaux et une cuisine de taille industrielle (indique le média américain).
Un mur de deux mètres entoure le complexe et des agents de sécurité autour.
Capital investi : 250 millions de dollars plus les dépenses journalières, une bagatelle pour Mark Zuckerberg dont la fortune est estimée à 93 milliards d'euros (Cf. Forbes).
Sa plateforme compte trois milliards d'utilisateurs actifs par mois !

D’autres achètent une île entière qu’ils aménagent en une forme de château fort autonome pour se protéger de toute attaque mais surtout des catastrophes climatiques à venir...
Mais quelle naïveté ! Ou quelle psychose !
Croient-il que le contour d’une île ou une forteresse va les protéger des forces cinétiques des océans, des pollutions atmosphériques, des éruptions volcaniques et leurs nuages de gaz, des dysfonctionnements géologiques, des affamés et réfugiés climatiques, …

Un autre milliardaire, qui vend des voitures électriques en usurpant le nom d'un savant ingénieux, Nikola Tesla, se donne beaucoup de mal pour construire une « île » spatiale.
Une plateforme spatiale pour se réfugier en cas de « Fin du monde ». Mais il n’en dit rien car il annonce le faire pour le progrès de la science et développer les voyages futurs dans l’Univers.

Non, les milliards ne rendent ni intelligent ni puissant ni sain
Ils n’apportent ni la Joie ni la Liberté mais la prison dans une forteresse. Ce malheureux M. Z. (ou ce E.M., ) qui ne veut pas partager ses milliards, restera enfermé comme un rat. Et même ce dernier ne tomberait jamais dans un piège pareil. Le rat est un animal, très collectif, intelligent et prévoyant. Même le rat n’aurait pas ce manque de gratitude de garder tout pour lui. La coopération animale est bien supérieure aujourd'hui à celle de l’Homme bestial milliardaire ou starifié.

Le patron historique d’Apple multimilliardaire, est mort d’un Cancer… N’avait-il pas TOUS LES MOYENS Financiers et techniques, sur TOUTE LA PLANÈTE, TOUT LE TEMPS NÉCESSAIRE, de trouver une solution à sa maladie ? Mais non.

Quelle ignorance ! Quelle laxisme ! Quel infantilisme !
Je crois savoir qu’en dernier lieu il a essayé la Macrobiotique mais si vous arrivez moribond, au bord du gouffre, rempli de médocs chimiques, et qu’il ne vous reste plus aucune énergie, même pour une digestion simple, même pour métaboliser et produire l’énergie de base, dessécher comme une coquille vide… IL EST TROP TARD !

Les molécules chimiques synthétiques sont extrêmement YIN ce qui leur donne ce pouvoir diabolique d'aller chercher et extraire les moindres "filaments" d’énergie au sein du noyau cellulaire.
Le but étant d’éradiquer le symptôme et de donner l'impression au malade qu'il est en recouvrement de santé.
Mais en réalité ce sont les derniers quantas d’énergie de survie qui sont extirpés, spoliés, exploités, pour un résultat dérisoire... la suppression de symptômes secondaires, partiels.
Alors le génie du corps jettent l'éponge !
Le génie s'en va et quitte le corps ...

La Diététique Macrobiotique n’est pas « remède de cheval », un « régime dopant de biochimie moléculaire (ADN) », un "médicament" qui ressuscite un "mort" pour en faire un spectre ou un ectoplasme comme on les voit de plus en plus dans la vie quotidienne, dans toutes les cités du monde actuel.

Il lui faut à cette médecine naturelle énergétique une réserve a minima d’énergie intrinsèque pour permettre à l’organisme de recouvrer les premières couches basiques des fonctions métaboliques saines et originelles.

La véritable solution à cette situation climatique et cette tragédie sanitaire du 21éme siècle, c’est le partage et la donation.


En protégeant l’AUTRE, ces milliardaires se protègeraient eux-mêmes !

Ne le savent-ils pas ! Ils devraient propager les bonnes résolutions écologiques et alimentaires, par exemple, aux trois milliards de visiteurs (Facebook) qui fréquentent son réseau informatique. Quel puissant levier pour le bien de l’humanité !


*******

Dans ce Cosmos incommensurable, rien n’est constant, tout se crée se transforme se détruit et se recrée à chaque instant.

Le moteur ou l'animateur merveilleux et formidable de ce prodige est le PRINCIPE UNIQUE.

Ce Principe Unique tellement recherché par des savants, des philosophes, des sages, des saints, depuis des millions d’années, dans toutes les formes d'Univers.
En parcourant l'Histoire, on peut les lire, les voir, les entendre, cherchant vainement, et pour certains rares, réussissant à ouvrir le Portail de ce PRINCIPE UNIQUE qui ANIME avec Justice et immanence les mondes incommensurables.

Ce PRINCIPE INFINI est là depuis des trilliards de trilliards d’années, dans les différents Univers qui composent notre Monde Visible qui va bien au-delà des projections minimes des immenses télescopes sophistiqués actuels.


Ne soyez pas victime de ces bouleversements en cours mais soyez jumelés à cette Vie universelle.
Pour cela il faut commencer par accomplir la sanogenèse : La sanité de notre CORPS, dans la profondeur de nos cellules.
Ce Corps qui s'est formé depuis des milliards d'années et qui contient des données, des savoirs, une EXPÉRIENCE, qui dépasse l'imagination.

EN LUI EXISTE UNE SCIENCE IMMÉMORIALE.
Le corps bio-organique humain est la cristallisation énergétique de l'Âme ! Notre royaume des cieux perpétuel...

Les corps, végétal, animal et humain, sont des formations extrêmement subtiles et ingénieuses de l'Âme spirituelle, et dans chacun selon sa dimension de nature, tandis qu'elle-même est reliée directement au PRINCIPE UNIQUE.

Soyons au contraire acteur, compositeur et spectateur de ce monde en transformation, en TRANSMUTATION !



Le Bleuet (Centaurea cyanus).
Oh! Notre beau bleuet, ton harmonique naturelle transcende notre Moi psychique.
Toi, bleuet, tu accompagnes les plants de céréales dans les champs non traités. Dès que des pesticides ou intrants sont plantés par un exploitant agricole (agent empoisonneur du peuple au service de l’industrie chimique) tu disparais : tu es un lanceur d'alerte !
Comme les glaïeuls, les tulipes, les coquelicots, Toi bleuet tu aimes la compagnie des céréales naturelles, tes cousines qui sont la base de l’alimentation des vrais Humains, des « Hommes non singes », des Sapiens vrais.

*******

 

Fin de la partie 8 sur la VOIE, La Pratique Macrobiotique, Son Principe, Sa Philosophie.

That is the practical and philosophical Way of the Macrobiotic Principle and the Unique Principle.

 

Dr L . DEYNE