JE TE SALUE MARIE
"Je te salue Marie,
Pleine de grâce et de gratitude,
L'Esprit est en toi,
Tu es bénie avec toutes les Femmes sans exception,
Et l'enfant saint est béni dans ton sein,
Ton corps et ton Moi communient en ta Mère-Terre,
Déesse immortelle puisses-tu inspirer toute Femme,
Par ta nourriture et ton sein naturels,
Par ton intuition spirituelle et ta torsade terrestre,
Afin qu'aucune ne démissionne du principe YIN,
De sa douceur ni de son lien cristallin,
Je te salue Marie sœur de toutes,
Que ta conception immacule toute Femme."
De la femme sans qualité à la Femme de nacre
ET toute Femme, née de sa Mère-Terre (YANG), a le potentiel de devenir une Déesse-Représentante de la Nature infinie (YIN).
ET posséder les facultés suprasensibles (YIN) que sa vraie Mère (YANG) lui prodiguerait sans hésiter.
ET n'est pas Femme sans "Pandora" ni influence délétère dans l'attrait des complexités profanes.
De ton retour Marie parmi nous
Je te salue Marie,
Jadis, Mère du fils de l'Homme
Mais dans ce siècle passé,
Devenue Femme du fils de l'Homme.
Fille virginale de l'Esprit,
Qui a donné des fils,
Restée ingénue et juste.
Qui a consommé la céréale
Auprès du Maître,
Et qui en fit son corps.
Qui comprit sa vocation
et en fit son être.
Je te salue Marie,
Astarté, Ishtar,
Mère de toutes les femmes,
Femme de toutes les sœurs.
Du destin des deux Maries
Les deux Maries pour un Dieu.
Que deviendrez-vous
sans votre Maître natif ?
Parti définitivement à l'Infini.
Où choisirez-vous d'aller
sans votre Père aimé ?
Comment chercherez-vous
un nouveau chemin
sans le nouveau Magister ?
Qu'allez-vous redevenir ?
Comment allez-vous revenir
dans le monde suivant ?
Resterez-vous à jamais,
dans le monde des mystères ?
Dans le monde des mânes ?
A jamais séparées de ce monde,
Figures éternelles de l'esprit féminin.
Des deux Maries d'Orient et d'Occident
De Marie La Conception,
qui vient de Konohana d'Orient.
De Marie La Résurrection,
qui vient de Wellauna d'Occident.
Toutes les deux ont
une fragrance différente,
une audace Homologue,
une destinée exaltée.
Deux natives renées,
des cendres, du corps malade,
par le Maître.
Je vous vois,
de mon œil imaginaire.
Je vous salue, les Maries,
Marie d'Orient,
Marie d'Occident.
L. M. DEYNE
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