samedi, décembre 30, 2023

LA VOIE ******* THE WAY - VP6

 

LA VOIE

LA PRATIQUE MACROBIOTIQUE,

SON PRINCIPE, SA PHILOSOPHIE
Partie 6

 

THE WAY

THE MACROBIOTIC PRACTICE

ITS PRINCIPLE, ITS PHILOSOPHY

Part 6

G. OHSAWA aimait répéter le générique
du conte d’Aladhin.
"Voici" la Lampe d’Aladhin qui contient le Djeyne.
Cette "Lampe" est évidement symbolique, elle ressemble
à une théière qui contiendrait en elle le pouvoir du Djeyne
dans la boisson qu'elle procure....


. Écrit le 30 décembre 2023
2 Janv 2024 : quelques ajouts nécessaires.
13 Janv : un texte en anglais ajouté tiré d'un article précédent.

. Written on December 30, 2023
January 2, 2024 : some necessary additions.
Jan 13 :  English text added from a previous article.



LE FONCTION DU JUGEMENT, LE PRINCIPE MACROBIOTIQUE

 

Le Pratiquant avance et dévoile progressivement son Jugement, sans trêve, dans sa vie psychique, dans la contingence du monde, les aléas de tous les jours.

Il a acquis le degré de CONSCIENCE qui lui a dévoilé la trilogie de la Vie réelle : le CORPS, le MOI psychique, L’ÂME spirituelle.

 

L’essence de son progrès dans la VOIE consiste dorénavant à aligner parfaitement cette trilogie.

À chaque alignement réussi pour un temps donné, déterminé par l'ORDRE de l'UNIVERS, il a connaissance qu’il fera un saut quantique dans une nouvelle dimension.

     

À ce stade, il évolue au sein d’une spirale logarithmique qui a déjà réalisé au moins deux circonvolutions pleines. Il est entré de plein pied dans le monde sensible celui du JUGEMENT DU SENTIMENT.

Il est vivant dans son époque, à l’écoute du monde visible, très relatif, dans lequel il s’exerce avec une énergie calculée au plus juste.

Tandis qu’il est pleinement conscient de son entrée dans le monde invisible dans lequel il explore la VIE RÉELLE sans limite.

 

Il vit le vrai SENTIMENT HUMAIN et rejoint la filiation millénaire de ceux qui l’ont précédé.

C’est déjà une prouesse recherchée, émérite. Une fraternité retrouvée.

La première fracture de la barrière mortelle de l’Espace-Temps.

Il est un Homme ou une Femme remarquable dans le subconscient des autres individus (Homme, Animaux, Végétaux) qui le rencontrent ou qu’il croise. Il le sait, le sent, le comprend, comme un message de l'ORDRE de l'UNIVERS.

De ces rencontres, il en fait un acte coopératif !

 

Ce monde exige, la maitrise de l’essence des émotions (pas des effets de celles-ci), de la responsabilité de ses comportements, de l’harmonie de soi au milieu (l’interdépendance avec le milieu) et de l’acte coopératif (interdépendance humaine).

Il n’y a ni passion ni sensiblerie. Il n’est ni un émotionnel impulsif ni un romantique narcissique qui juge les choses en fonction d’un sentiment susceptible ou passionnel.

 

Il est citoyen du Jugement Suprême par le Sentiment.

Sa faculté de pressentiment, d’analyse, d’exploration, de confiance, est entrée dans l’univers réel double invisible/visible.

 

Il est conscient que son Jugement se loge désormais dans un halo psychique qui vibre dans la fréquence de L’AFFECT.

Son Jugement perçois maintenant le monde visible/invisible selon différentes facettes, toutes colorées par un état d’âme polarisé sur l’Affect.




LA VOIE : LA DIMENSION DU JUGEMENT SENTIMENTAL, SON SUBSTITUT L’AMORCE

 

Ce Sentiment de la troisième dimension du Jugement suprême n’a rien à voir avec le romantisme des émotions sensibles, les ébats affectifs comme dans les feuilletons puériles que donne à lire certains écrivains ou cinéastes. En fait, ces état d’âmes sensibles, émotifs, ne sont pas exclus de ce Jugement, ils en font partie. Mais ils ne sont que l’écorce – L’AMORCE – dans la sphère réelle du Jugement Sentimental tel que le définit le Jugement Suprême.

 

J’appelle AMORCE ce que tout être Humain (et Animal !) possède dans chaque dimensions du Jugement Suprême.

Les fameux romantiques utilisent cette Amorce dans la dimension sentimentale pour faire fleurir leur imagination ou leur poésie.

 

Tout Humain possède en lui l’amorce de toutes les dimensions des Jugements, y compris celle du Jugement Suprême.

Ceux qui ne sont pas citoyens véritables de cette dimension en donne une interprétation sentimentaliste, celle de l’Amorce de cette dimension.

Les aspects ou attitudes émotionnels ne sont que le mode de fonctionnement superficiel même s’ils appartiennent aussi au Jugement sentimental. Mais ils en sont qu’un ersatz pour le Pratiquant qui vit dans la dimension du Sentiment dans la Voie du Jugement Suprême.

 

Nous pouvons lire ou voir cette amorce dans les portraits licencieux ou les représentations affectées du romantisme modèle des 18ème, 19ème, et 20ème siècles, chez des auteurs rendus célèbres par leurs romances ou poésies populacières ou canailles.

Je donne ici trois cas comme pourrait les observer le Pratiquant authentique de cette dimension. Des exemples très visibles auxquels j’ajoute une analyse succincte de leurs personnalités à partir de leur biographies officielles.

 

Dans une des compositions romanesques de Proust « À l’ombre des jeunes filles en fleurs », elle reflète l’image projetée vue au travers d’un filtre très YIN, celui de « jeunes femelles » ou de « Jeunes entités de l’autre sexe étrange ». Si l’on entre dans son regard émotif et immature, elles sont vues sous forme hallucinées (YIN) comme des « entités évanescentes », presque immatérielles, et qui restent inaccessibles. Il les hallucine « dans l’ombre » car il est resté depuis son enfance jusqu’à sa mort « l’amant » secret et fidèle de sa mère. Partout où il allait, il emmenait toujours sa petite mallette de nourriture, souvent préparée par sa mère-amante ; ainsi son amour sentimental et symbiotique avec sa mère restait « collé » à elle, par son corps et son moi de nourrisson.

 

On observe sur ses photos biographiques qu’il est toujours resté Sanpaku depuis son enfance. Extrêmement YIN, sa survie n’était due qu’à la condition confortable de sa vie bourgeoise. 

Son romantisme était partagé entre la séduction infantile pour sa mère, sa description fantasmée du monde des adultes qu’il a toujours refoulé et son homosexualité exutoire. Il offre un bon exemple du sentiment esthétique qui n’est que la croûte, la superficie du Jugement du Sentiment.



Proust 10 ans


Dans ses aventures, Rimbaud décrit dans « Le cœur supplicié » une affection imagée qui n’est pas celle du vrai Sentiment de la Vie naturelle et croissante dans toutes sociétés. On retrouve encore cet état psychoaffectif qui existe dans l’amorce du Sentiment cantonnée dans la première couche superficielle.

Rimbaud 17 ans


Le Pratiquant du Principe Macrobiotique ressent cette amorce dès les premières semaines de son entrée dans le 3ème Portail mais elle est vite dépassée.

Alors que le « visiteur superficiel », le passager villégiateur, ne peut aller plus loin que cette Amorce et reste collé à cette couche périphérique qu’il ne peut dépasser faute d'avoir acquis le droit à la citoyenneté de ce monde.
C'est à dire d'avoir intégré le Jugement adéquat scindé au quantum d'énergie qualifiée.

Pour l’individu lambda, l'amorce est pour lui comme un SAS temporaire. Mais s’il veut y accéder à nouveau ce sera au prix d’efforts, de contentions, ou par accidents souvent violents.

Mais la plupart le font par le biais des drogues ou psychotropes : Verlaine ; Baudelaire ; Maupassant ; Malraux ; Sartre ; Jules Verne ; Balzac ; Dumas ; Gautier ; Cocteau ; Doyle, Stevenson ; etc … La liste est longue.

 

Quelques exemples : Chanvre ; Haschich ; Mescaline ; Pavot (Opium) ; Morphine ; Éther ; Cocaïne ; Amphétamine, Corydrane ; Préludine ; Codéine ; etc. … sont des ressorts qui donnent accès, par un SAUT, à ces amorces borderlines dans les différentes dimensions supérieures du Champ de la Conscience.

Mais ce SAUT exige d’avoir à extraire artificiellement une énergie YANG substantielle
nécessaire et extrêmement précieuse utilisée en cas de survie ou d'exploit spirituel.

Cette énergie est tirée vilement de la réserve vitale de l'individu, elle produit alors le déplacement dans le Champ psychique. L'individu est propulsé, sans maitrise (!), de son état ordinaire, habituel, dans un état modifié de la conscience dans un échelon inconnu.



D’où vient cette énergie YANG ? Des réserves vitales, dans les couches primordiales de la VIE fournies par le corps métabiologique !
Elles se constituent lentement, subtilement, assidûment, avec un travail intense de celui qui veut l'augmenter dans un but précis.

Il faut ensuite des années de pratique assidue, d’exercices et de vie saine pour réapprovisionner ce centre d’énergie !

Pour un bon physiognomoniste ou un thérapeute de la médecine Macrobiotique, il est facile de déceler un individu qui s’est drogué ou qui consomme régulièrement des psychotropes, analgésiques ; même à but médical.

Tous ces produits détruisent l’harmonie spirituelle du Jugement puis corrompent le corps métabiologique et enfin détruisent les fonctions métaboliques et neurovégétatives.
Une bonne partie des maladies neurodégénératives viennent de l’abus ou de la consommation régulière de ces artefacts psychédéliques ou analgésiques.

Aux USA, les opioïdes tuent des centaines de milliers de personnes par an ; il faut ajouter ceux qui en réchappent mais ont des séquelles graves ou conséquentes sur leur fonctionnement normal ; elles sont organiques ou psychiques, ou les deux. Les américains, et ailleurs dans les pays de l'OCDE, sont des millions de consommateurs réguliers.

Le  terrien moderne ou l'hominidé ne peut plus supporter la moindre petite douleur... C'est un signe à la fois précurseur, révélateur et grave de l’état neuropsychique des populations.

Un exemple : un analgésique, dérivé de la morphine synthétique, mais deux fois plus puissant, a tué 600 000 américains et rapporté au laboratoire 35 milliards de dollars de revenus (National Geographic, 2021). Et il continue à être vendu, et même remboursé en France !
Le ravage est tel qu'il existe un mémorial aux opiacés aux États Unis !   


Ainsi, Chopin se mettait dans un état d'hystérie pour composer la partition de musique qu'il pressentait intuitivement mais ne pouvait la réaliser en musique ; pour raviver l'amorce (3ème Portail), il provoquait une crise
émotionnelle qui lui permettait d’intégrer l’inspiration subtile et concrétiser sa musique romantique au piano.

Mozart n'avait pas besoin de crise "extatique" provoquée et Beethoven non plus.
Mais il leur fallait "payer" de toute façon, car rien n'est gratuit pour faire l’incursion dans une dimension supérieure chez l'individu  non qualifié, non initié dans le degré qu'il souhaite atteindre.
Mais le Pratiquant lui-même a payé par sa longue pratique, ses efforts, ses "bons points admissibles", pour passer le portail en règle avec les Lois de de l'Ordre de l'Univers.
C'est un travail de sublimation continue, permanente, chez le chercheur du Principe Unique.

On sait comment Beethoven est devenu sourd, dépressif périodiquement et même suicidaire, sauvé par une femme (une perle !). Il se nourrissait principalement, de porc, de volaille, patates, sucres et liqueurs.
On ne devient pas sourd "par hasard"; les médecins ont aggravé sa maladie selon ses propres dires !
Mais comment faisait-il pour composer et diriger ses symphonies sans sonorité sensorielle, celle qui passe par le tympan ?
Il avait découvert le secret de la vibration intérieure !
Son ouverture de "Fidélio" montre une maîtrise rare du jeu YIN-YANG (dans les polarités extrêmes) dans l'orchestration musicale !

Mozart, n'a pas eu de chance avec son épouse sybarite effrénée. Mais sa constitution était fragile dès le départ, il était très YIN. Ses frasques alimentaires d'un extrême à l'autre (il a frôlé l'obésité plusieurs fois); ses déplacements forcés et exténuants; ses états maladifs à répétitions (excès de YIN à YANG et inversement); ses surmenages indisciplinés et mythomanes. Tout cela a achevé sa santé fragile.

Et vers les dernières années de sa vie il est devenu sanpaku et le corps gonflé à cause des mélanges, sucres,
chocolats, vins, et aussi les remèdes farfelus extrêmement YIN proposés par toutes sortes de médecins "de molière" qu'il acceptait comme des panacées pour "survivre".
Son Art de la MUSIQUE dépasse la musique ; celle-ci est devenue universelle ; quelles que soient les cultures dans le monde, il fascinait ou magnétisait les auditeurs.
Lui aussi ne composait pas de la musique mais façonnait une alchimie de la VIBRATION sonore ! 

Je ne peux m’attarder mais il y a des explorations, métabiologique, psychique et spirituelle à faire dans la vie de certains musiciens (et pas forcément les plus connus) qui peuvent nous apprendre beaucoup sur le Principe Unique. Certains ont eu pendant un instant de leur vie une élévation très haute, d'autres à plusieurs reprises. N’oublions pas que par la MUSIQUE, ils "travaillent" le monde prodigieux, et même thaumaturgique, des ONDES VIBRATOIRES !
Les religions ne s'y sont pas trompées, toutes utilisent le chant, pour harmoniser les êtres... Et faire passer certains messages dans le subconscient.
Dès la polarisation YIN-YANG, des ondes originelles, non encore énergétiques, prennent naissance : elles généreront le Magnétisme puis se muterons dans le 5ème Monde en ÉNERGIE absolue.
Les plus doués "communiquent" avec les 4ème et 6ème dimensions. Nous verrons plus tard.

 

Pour le Pratiquant du Principe Macrobiotique qui entre dans le troisième Portail, L'Amorce ne l’intéresse pas, ce n’est pas le cœur de sa recherche et de son évolution.
Elle n’est qu’un simple jet de jouvence psychoaffective qui lui est octroyée dès l'entrée du Portail.

Comme nous l'avons vu tout humain possède une Amorce qui est le champ périphérique de chacune des sept dimensions. C'est comme un sas d'entrée.
Tout humain peut accéder à toute amorce mais au prix d'un effort par différentes "techniques" : crise existentielle ; crise hystérique ou émotionnelle ; psychotropes (voir plus haut) ; traumatisme ; occultisme ; rites magiques ou invocatoires ; ascèse non spirituelle ; etc....
 
 

Ce sas pour le "jeune maître" est comme un simple ticket de train dès l’entrée en gare (du 3ème portail). Ce qui lui importe, ce n’est pas le ticket mais le type de train que le Pratiquant a choisi consciencieusement, sa vitesse, le chemin à réaliser dans cette dimension nouvellement acquise, dans un but défini !

 

Mais revenons à Rimbaud ; sans racine authentique dans ce Jugement, confondait la mère biologique avec la Mère Infinie, éternelle et virginale, que seuls peuvent côtoyer les citoyens qui ont réellement accomplis la prouesse du parcours.

Il était lui aussi Sanpaku depuis son enfance. Verlaine l’a enrôlé aux psychotropes, très à la mode parmi les intellectuels de l’époque. Mais se droguer n’était pas sa tasse de thé, sa remarquable intuition mystique l’a éloigné de ces produits vénériens et licencieux. Son mérite très appréciable a été de rechercher dans les voyages, ses aventures risquées à l’Orient : la recherche du  secret du Bonheur.


Celui de goûter à chaque instant la vraie vie inspirée et rayonnante du Jugement du Sentiment. Rimbaud était un gnostique sans le savoir mais qui n’a pas su trouver à temps le Compas YIN-YANG – la Méthode d’ancrage – pour s'insérer dans la Voie… Quel dommage pour ce brillant jeune homme très sensible et mûr à la vraie mystique.

Il était très YIN mais avait un fond YANG préservé et qui le rendait capable de prendre des risques et des initiatives déconcertantes dans la réalisation de ses inspirations ardentes. Il aurait été un très bon chercheur naturel de la Vie du Principe Unique s'il connaissait la Diététique Macrobiotique.


Baudelaire 45 ans


Baudelaire dans les « Les fleurs du mal » touche presque au monde du vrai Sentiment au travers du terme qu’il invente le « Spleen ». Il exprime bien à la fois la mélancolie du passionné qui court après l’exaltation par le plaisir mais aussi cette « rage », ce combat pour revivre l’inédit, le renouveau de chaque instant.

Il appartient à ces personnalités YANG mais très YIN au fond qui recherche la fonction de l’esprit à travers des états passionnels. Même si ceux-ci sont des explorations dans le monde orgiaque de la sexualité.

Il ignorait ou n’a pas voulu approfondir la sublimation de l’énergie sexuelle en processus psychique ou spirituel… Car on voit qu’il possède en lui cette force conséquente dans le centre énergétique primitif que les sages indiens appellent Muladhara – la base de la Kundalini dormante mais prête à s’éveiller.

Il ne connaissait par le Principe Macrobiotique, la méditation transcendante, qui ouvre à une forme d’exaltation dans ses développements et la joie générée par un sentiment océanique : la vraie sensation naturelle de la Vie.     

 

Le Jugement du vrai Sentiment est la capacité de percevoir consciemment les état d’âmes, les « pathies », les empathies et les antipathies des autres. Ce jugement est une faculté, une nouvelle fonction acquise pour mieux comprendre les processus naturels de la Vie et du Monde dans sa relation à un Ordre Sensible.

 

Le PRATIQUANT dans ce Jugement perçoit aussi les fluctuations de la Nature à travers les humains et les autres vivants, les animaux, les végétaux et les êtres sensibles.

Certains peintres impressionnistes ont tenté de réaliser cette synergie entre leur état d’âme « sentimental » et la face invisible de la Nature spontanée (Cézanne ; van Gogh ; Pissarro ; Renoir ; Monet ; Sisley ; …).

 


L’âme de ce Jugement n’est pas un simple état émotionnel passionnel ni une appréhension mélancolique mais un degré d’intelligence spirituel qui tisse les premiers liens entre le sentiment de Soi avec le Milieu. Il prépare au passage de la dimension suivante, le Jugement Intellectuel ou d’intellection.

PISSARO

Pour passer le 3ème Portail et entrer dans le Monde du Sentiment, l’examen exige d’abandonner les satisfactions induites par les habitudes mécaniques et les excès sensoriels, ceux des six sens.

      

Si vous n’y êtes pas encore ou que vous vous apprêtez à passer ce Portail du Monde du Sentiment, vous aurez ainsi une piste d’information et une carte de base pour son accomplissent.

 

Mais cette piste pour autant qu’elle soit précise et bien tracée, elle sera de peu d’utilité si vous ne pratiquez pas la BASE, le comburant qui ouvre tous les Portails progressivement : la Diététique Macrobiotique !

 

 

 

UNE VRAIE MÉTHODE SE JUGE À SON RENDEMENT PERFORMANT ET SAIN

 

La MÉTHODE Macrobiotique et son Principe Unique que je pratique depuis 40 ans est la meilleure sur tous les plans, physique, biologique, psychique, sociologique, spirituelle.

Une méthode efficiente permet de diminuer la quantité d’effort et de complications qu’il faudrait fournir pour avoir le même résultat sans celle-ci. Et même un résultat supérieur.

Comment ?

Une lampe produit sa lumière en fonction de la puissance en kW par le temps (Kilowattheure) fournis par un générateur de courant.

La Lumière est notre Champ de la Conscience, notre Jugement, c’est le résultat progressif que nous voulons obtenir. C'est à dire augmenter notre capacité énergétique pour augmenter la luminescence de notre Jugement.

Le Générateur est la Méthode que le Pratiquant perfectionne jour après jour. Cela engendre en lui une « puissance » qui lui permet d’avancer dans ses progrès, dans son véhicule métabiologique, dans le sentier de la Voie. 

 

Dans son Principe, la Macrobiotique est d’autant plus remarquable que son rapport entre l’effort demandé et son résultat offre un rendement sans équivalent. Elle a le meilleur de tous les rendements comparée aux autres approches ou méthodes depuis des milliers d’années.

Bien sûr, s’il y a une face très positive, il y a son dos, ce sont les conditions. Deux conditions seulement sont nécessaires.

 

Premièrement, il faut un apprentissage de base explicite et authentique dans la pratique de la Diététique Macrobiotique dès le départ.

Commencer avec des informations ou des pratiques tordues ou avortées est un très mauvais départ dans la Voie de la Macrobiotique.

On peut observer ces individus sur le NET avec leurs étalages burlesques et marchands, leurs prétentions maladives et insensées sur la cuisine macrobiotique, et pire ils parlent même de médecine. La plupart ont des physionomies de malades – Ils ne le savent pas eux-mêmes ? Leur physiognomonie révèle leur très bas niveau de compréhension et leurs balourdises. Il en ont fait un métier, une valeur marchande, et au pire ils déballent de la camelote, des pacotilles !

 

À l’exemple de cet anglais, supposé « expert » et « thérapeute », grandement formé aux USA, longtemps adepte macrobiote (mais surement pas Macrobiotique). Tandis qu’il était atteint d’une grave leucémie, il continuait à occuper les plateaux de TV, et ces interventions sur les réseaux sociaux du NET. On apprend après-coup qu’il est décédé d’une maladie grave, dans un silence assourdissant. S’il était si bon thérapeute il aurait dû savoir se guérir lui-même et surtout ne pas se montrer dans son état catastrophique. Tout vrai macrobiotique ou thérapeute du Principe Unique pouvait voir son état blafard, blême comme du plâtre et ataraxique, même sur l’écran TV ou celui du NET.

Il lui aurait fallu se cacher « dans un coin », comme font les animaux sauvages, et connaissant la macrobiotique, se guérir lui-même… ou demander de l’aide à d’autres plus expérimentés que lui.

 

Pourquoi cette situation ? Malgré toutes les dizaines années depuis sa première rencontre macrobiotique, il n’est resté qu’un pauvre débutant qui répétait comme un disque ou une cassette vidéo ce que son mentor conférait avec les « stages » et les « lessons » pour enfin devenir « counsellor expert »…

Il a assimilé la « petite macrobiotique superficielle » comme une théorie, une « conception orientale », une "fiche de mauvaise cuisine", dont il croyait qu'il suffisait juste d’appliquer les schémas et les recettes.
Mais qu’a-t-il fait pour travailler le dévoilement du Jugement ? Avec toutes ces années n’a-t-il pas compris que le fondement même de la Vie Macrobiotique et sa philosophie est un effort pour un éclairement constant du Champ de la Conscience ?

Quelle tristesse et quelle médisance !

 

N’avait-il pas honte ? Ne voyait-il pas qu’il était VISIBLE dans son état affecté, maladif, détérioré ? Pourquoi continuait-il à faire ses écarts ? N’avait-il rien appris de son mentor ? Pourquoi prenait-il encore des médicaments chimiques ? N’avait-il pas confiance dans la Macrobiotique qu’il prétendait enseigner ? Pour lui, n’était-ce qu’une « Chose » pour faire carrière ?

Quelle image triste et irresponsable pour les Macrobiotiques qui défendent cette méthode et cette philosophie authentique ! Les Macrobiotiques qui ont des responsabilités dans des actions d’accueil de nouveaux adhérants, ou celle de centres macrobiotiques, sur la planète.

Et pire encore, pour les débutants ou le monde médiatique, les personnes, qui voudraient essayer, s’intéresser à la Macrobiotique !

Il lui aurait fallu se cacher, faire son mea culpa et réparer ses erreurs, se guérir lui-même… ou demander de l’aide à des Macrobiotiques expérimentés.

Malgré les beaux discours « savants », les écrits, les expositions personnelles, il est resté un débutant maladroit et irresponsable.
Il est tombé, comme d'autres, dans ce terrible Karma qui prescrit : " Si tu ne vis pas ce que tu enseignes alors tu périras". L'Ordre de l'Univers n'a pas de sentimentalisme ni de complaisance, passé une certaine limite de tolérance.

En philosophie, on ne critique jamais les "petites fautes", les "petits péchés", s'ils sont inconséquents ou ne sont pas dans une compulsion de répétitions (la répétition des mêmes fautes). Les erreurs épisodiques ou inconscientes sont le lot de toute personne.
Mais la fraude délibérée par égotisme, les perversions chroniques, entêtées, qui galvaudent, ne peuvent être admises.

Voyez vous-même :
"La septième condition de la Santé, c'est la Justice. Si on ne comprend pas cela ce que l'on sait (l'on croit savoir, ndlr) de la Macrobiotique devient un péché !".
"Celui qui est malade ou malheureux est un menteur qui n'a pas la volonté de vivre la justice jusqu’au bout".

Georges OHSAWA, le Zen Macrobiotique, p. 44
.

Voici un texte en anglais daté de février 2018, que vous pouvez aller lire dans ce site.
"The one who is sick or unfortunate is a liar who has no will to live justice up to the end".
From Georges OHSAWA; “Le Zen Macrobiotique”, p. 44, ed.1972/1986, "The seventh health condition" (French publishing).

The Justice is everywhere and certainly in you.
You are your own upholder of the JUSTICE in your enjoyment as in difficulties or misfortune.
The Justice here does not dice !

We remind partially the famous pragmatic thought of Épictète : " Everyone is happy otherwise it's his fault ".
He who is sick or in a bad state and can't heal himself despite his knowledge of the Macrobiotic, is a liar.
And especially, if you claim to have an experience and teach the Macrobiotic Principle. "It" is then a double liar !
The Macrobiotic principle is neither a territorial competition nor a lobby.
Start by applying the principle of Justice in your diet.".




Jamais dans tout Art initiatique ou toute philosophie, le progrès sur Soi, le dévoilement du Jugement, l’Éveil, ne viennent simplement par une ancienneté passive : « Je suis ancien donc le temps travaille pour moi » quelle absurdité et arrogance !

Le temps n’a jamais été l’esclave du chercheur de vérité ; le travail sur Soi, soutenu, au quotidien est le véritable TEMPS du progrès !

Même les sportifs qui ne prétendent pas atteindre des valeurs spirituelles, s’entrainent quotidiennement et n’attendent pas que ça vienne tout seul !

   

Des « aveugles » – ou des débutants déguisés en « experts » parce que diplômés (?) – ne doivent pas enseigner des schémas ou des idioties à des débutants. Les formateurs « phonographes » ou « logiciels » parce qu'ils auraient des années de "présence" doivent être exclus de tout type d’enseignement afin d’éviter de tuer l’espoir dans l’œuf.
De formater des personnes à un « macrobiotisme » dévié et déviant qui mène dans une impasse, et surement pas à l’épanouissement de Soi, à la véritable Santé durable des Sept conditions de la santé, et encore moins à la Philosophie.

  

Deuxièmement, il faut une compréhension adéquate de cette Diététique Macrobiotique pour bien comprendre ce qu’est son équilibre dans le Principe YIN-YANG.

Tout Aliment, donc toute la nutrition, est une énergie potentielle qu'il faut comprendre et savoir combiner.
Voir les articles des partie 1 et partie 2 sur la Voie.

En réalité nous sommes des alchimistes dans l'authenticité de nos opérations externes et dans celle de nos transmutations internes.
Nous faisons des transmutations métaboliques dans le corps et dans l'esprit en manipulant, en déplaçant, une puissante énergie tirée des aliments classiques, fondamentaux et des aliments spécifiques. Et de certains produits excentriques et paradoxaux !

C’est du "TNT" (trinitrotoluène) que nous opérons dans nos éprouvettes, nos erlenmeyers, nos béchers, nos büchners, nos becbunsens, nos centrifugeuses, nos balances, nos autoclaves, etc...
Ce n'est pas de la dinette gastronomique.

Comprendre le PRINCIPE DU YIN ET DU YANG, c'est surtout savoir élaborer en soi et combiner une ÉNERGIE PUISSANTE ET SUBTILE. Une Énergie reliée à l'ORDRE DE l'UNIVERS !

L’intégrer véritablement en Soi, alors la pratique sera concevable, durable, saine, et joyeuse.
L’enseignant ou le pédagogue dans ce cas doit être beaucoup plus expérimenté avec un vraie pratique supérieure à dix ans. Il doit au moins avoir franchi le 3ème Portail.

Et tout vrai Pratiquant sait que : quels que soient, son niveau, son ancienneté, sa conviction, à chaque jour, à chaque rythme circadien, ne jamais oublier la PRATIQUE DE LA BASE : la DIETETIQUE MACROBIOTIQUE !

Débutant ou expert, cette Base de l’assiette avec 70% de céréales complètes naturelles mastiquées, dans un circadien ne doit jamais être sous-estimée.
Le corps métabiologique tire toute sa fonction énergétique de cette Base alimentaire YIN-YANG et fait remonter celle-ci dans la fonction de l'Esprit.

 

Le Ciel (YIN) dans sa profonde intelligence et sagesse n’oublie jamais de visiter et recevoir chaque jour et chaque nuit, la nourriture de sa Terre (YANG) !


Nébuleuse bipolaire du papillon dans notre galaxie.
Elle possède une familiarité avec notre Terre : riche en carbone.
Émanation de la diversité "artistique" de l'Ordre de l'Univers.


Fin de la 6ème Partie de la VOIE de la Diététique Macrobiotique au Principe Unique.

 

L. DEYNE

 

 



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