mardi, juillet 22, 2025

 

LES QUESTIONS YIN-YANG DE G.OHSAWA, LES QYGO

QUESTION N°2 : POURQUOI LA MER EST SALÉE
5eme Partie

THE YIN-YANG QUESTIONS' G.OHSAWA, THE QYGO
QUESTION #2 : WHY THE SEA IS SALTY ?
Part 5




Alchimie antique : de la matière du "Corps chymique" aux Transmutations internes philosophiques de l'Ars Magna.
Le Rébis est la fusion accomplie du YIN et du YANG, qui ouvre le portail secret dans la "Cité des Immortels".


Écrit le 22.07.2025
Written on July 22, 2025

Piste 4 : LA VOIE DES TRANSMUTATIONS
Cette quatrième piste se fera en trois parties : 5e, 6e, 7e.



L'ALCHIMIE VIVANTE VERSUS LE SCIENTISME DÉVASTATEUR

Cette 4ème piste nous conduit aux TRANSMUTATIONS, biologiques, biochimiques et physiques, atomiques et moléculaires.
Elles sont le cœur des recherches et des véritables opérations Alchimiques, Al Khimya (source de l’Arabe), des anciens chercheurs des origines de la Matière et de la VIE dans l’histoire humaine.

Cette Science est presque éteinte de nos jours mais ses transmutations, non techno-chimiques, non formelles, auront une renaissance dans le monde futur ; elles seront alors celles des sages et des savants pour une grande évolution humaine.

L’Alchimie existe et existera éternellement ici sur notre Terre mais aussi pour toutes les formes de vies humanoïdes dans les Univers.
Le scientisme réductionniste et formaliste des 20ème et 21ème siècle, rejeton de « Lavoisier & Co » (Berthollet, Fourcroy,… ) avec sa « chimie moderne » n’a toujours pas compris la profondeur et le génie de la Science Alchimie des Mutations de la Nature et de la Vie.

L’Alchimie de l'Ars Magna est la réalisation de l'Homme Suprême par les transmutations YIN-YANG, externes et internes du Grand Œuvre.
Il dépasse de loin les simples opérations, de paillasse, de forgeonnerie ou de « sorcellerie ingénieuse » dont la finalité supposée du "petit ouvrier" serait d’obtenir des métaux ou pierres, précieux.

Le Principe de Transmutation qui est le cœur de l’Alchimie n'est pas celui focalisé sur la seule rectification de la matière.
L'Opérateur est la véritable substance vulgaire qui par transmutation devient Dieu.


La base est de réussir la Transmutation des matériaux inachevés en éléments accomplis au plus haut degré ou raffinement dans le travail sur plan au laboratoire.
De la "Terre noire" ritualisée, choisie avec soin, à la matière aurifère la plus pure, de 24 carats, obtenue par la transmutation du Feu, du gaz et du "souffle du Pratiquant". Sans cuivre, sans palladium sans nickel sans étain sans argent. Un Or exactement équivalent à celui biosynthétisé par l'organisme sain, c'est à dire dans un équilibre YANG.


Un Or fluide, vivant, consommable, biologique, biocompatible, anti-inflammatoire et antidépresseur. Il est exactement celui qui est transmuté dans le Moi biologique du Pratiquant accompli.

Or interne ouvre la Voie à la fabrication de l'Or externe.
La quantité et le degré de pureté de l'Or biotransmuté dans le Moi Biologique est l'indice exact du degré d’avancement spirituelle du Pratiquant.

Cette dimension pragmatique accomplie, l’Alchimie passe au grand Art, l'Ars Magna, qui est de muter l’Homme du bas jugement, ignare et dégénéré, en un Homme Suprême.

La transmutation externe, celle des "combinaisons" qui transforment la matière, n’est qu’une application de la Transmutation Interne dans l'Ars Magna. Les maîtres Alchimistes ne pratiquent que l’Ars Magna. Un Art qui va même au-delà de la médecine régénérative du corps.

Un Art qui permet d’acquérir la connaissance des Lois de la Vie, c'est à dire de l'ORDRE de l'UNIVERS. Son but est celui de la régénération (la reconquête) de la nature absolue et sublime de l’Esprit, oublié dans le chaos de l’incarnation terrestre.


Cet « Ars Magna » efface les imperfections du Moi, et aussi celles du monde manifesté, il vainc la maladie et la mort. Il fait remonter, par La Machine Espace-Temps, la genèse du cosmos jusqu’à son origine polarisée, pour entrer dans la Conscience Suprême.

Certes, il y eut des scélérats, des imposteurs, des falsificateurs, des hallucinés, des crédules, et des « petits ouvriers », parce que l’or et la pierre précieuse qui se fabriquerait par miracle dans un creuset, sans limite, attirait toute une « faune » d’individus avides de faire fortune avec moins que rien (du plomb ; de la ferraille ; des cailloux ou du sable).

Nous sommes au 21ème siècle, des transmutations industrielles existent et sont réalisables mais elles coutent chères. Il faut un système d’appareillages compliqués et une grande quantité d’énergie. On sait fabriquer de l’or et d’autres élément par transformation à très haute énergie. C’est un bombardement nucléaire mais pas une totale transformation du  nuage électronique et de son noyau.

Mais notre transmutation Alchimique des éléments (de la matière) est à l’opposé, complètement différente. Nous utilisons une faible énergie et une pression constitutive du milieu.
De plus elle est très économique, très bon marché. Et elle s’applique aussi sur tous les éléments du tableau de Mendeleïev sans exception….

Enfin elle modifie complètement la structure et la fonction de l’atome de départ (la matière primaire) pour aboutir à un autre atome dans la chaîne périodique des éléments atomiques.


GEORGES OHSAWA ALCHIMISTE
   
Le professeur G. OHSAWA, à 70 ans, a engagé tout son temps et tout son potentiel énergétique dans le grand mystère et la grande complexité de la TRANSMUTATION des éléments atomiques du tableau de Mendeleïev.
Mais aussi celle de la Transmutation des corps biologiques et du processus des esprits (Accroissement du Jugement).

Les DEUX étant inespérables, indissociables, ou alors c’est du charlatanisme, de l’esbroufe comme l’ont fait, et le font encore aujourd'hui, nombre de souffleurs.

Mais il existe à ce jour de vrais alchimistes sincères en Occident comme en Orient. Chacun pratiquant et méditant selon son degré de compréhension et d’évolution de l’Extrême-Orient à l’Extrême-Occident.

Pourquoi G. OHSAWA s’est-il soudainement investi de façon si intensive dans l’ALCHIMIE des Anciens, le mystère caché de la TRANSMUTATION, la science de la MUTATION des Formes ? Personne n’a répondu.   

Mais nous devons rester dans notre champ d’exploration qui est celui de l’aenigma du SEL ubiquitaire dans la Mer, les Océans : pourquoi le Mer est salée ?

Nous allons nous intéresser au Lithium (Li) qui est le corps atomique primitif juste après l’Hydrogène.
Le lithium est un métal solide, léger, et très réactif, même à l’air ambiant. Il existe plusieurs types de lithium dans la Nature.
Le lithium est un atome YANG !

On en parle beaucoup aujourd'hui pour les différentes technologies de communication, de transports et de système de guerre.

Il y a des atomes de nature YIN : l’Azote ; l’Oxygène ; le Silicium, le Soufre ; le Potassium ; le Fer, le Plomb ; l’Or, ….

Il y a des atomes de nature YANG : l’Hydrogène ; le Lithium, le Carbone ; le Sodium ; le Magnésium ; le Nickel, l’Arsenic ; le Platine ; le Mercure, ….


On peut réaliser et réussir des transmutations atomiques (dites « métallurgiques ») si l’opérateur sait parfaitement, combiner ou condenser et sublimer, les énergies YIN et les énergies YANG dans un milieu donné (YANG), avec des outils adéquats (YANG), ils pourra alors obtenir le « déplacement » d’une substance pour une autre (d'un YIN à l'extrême produisant YANG).    

Les anciens alchimistes connaissaient et appliquaient le principe YIN-YANG (Feu▲YANG et Eau▼YIN ; Soleil▲- Lune▼ ; Soufre▲mâle - Mercure▼femelle) dans le système opératif comme dans leur recherche métaphysique.
Les vrais alchimistes avaient un but double : fabriquer la Pierre Philosophale (catalyseur originaire de la matière) et découvrir le Monde d’Éternité (obtenir l’immunité perpétuelle et le principe d’immortalité).      


LES TRANSMUTATIONS KERVRAN    

Notre piste s’appuie aussi sur les transmutations biologiques et biochimiques selon les recherches du Pr. Corentin Louis Kervran, scientifique français (1901-1983).

Vrai scientifique audacieux, non conventionnel et éclairé qui a aussi travaillé avec le Prof. Georges OHSAWA au développement des opérations ingénieuses sur les transmutations des éléments atomiques.

Louis Kervran a été chargé de conférences à l'École de Physique et de Chimie de Paris.
Comment est-il arrivé à une existence possible de transmutations atomiques ?
C'est à dire à l’existence expérimentale des franchissements possibles d’un élément de la matière pour un autre élément de la matière différent dans le tableau périodique des éléments atomiques.

Tout commence en 1936, il est membre du comité d'hygiène de la Seine, il est confronté à des cas récurrents d'intoxication à l'oxyde de carbone (carboxémie, excès toxique de carbone dans les sang) chez les ouvriers soudeurs. Il opère alors de nombreux contrôles précis afin de découvrir la source d'oxyde de carbone (CO). Mais rien ! Pas de source externe. Après de multiples observations et analyses, il conclut que la production d'oxyde de carbone serait endogène, elle viendrait de l’organisme même des ouvriers.

Il conclut que l'azote de l’air (symbole N) de poids atomique 14, serait « dynamisé » par la chaleur intense de la soudure. Cette intensification transformerait le couple N2 (14x2=28) en oxyde de carbone avec l’oxygène (O=16) ambiant.
Donc N2 par transformation serait la source du CO à l'intérieur de l'organisme. Les masses atomiques de C=12 et O=16 font 28 ce qui correspond à N2 (l’Azote).


Le N2 se transmuterait en CO dans l’organisme qui serait alors la source de la toxicité. Bien sûr cette transmutation in situ commence dès la saturation dans le volume d’absorption de N2 par le soudeur.
Il trouve alors la solution du problème qui consistera à fournir des masques avec un tuyau permettant de respirer l'air à l'arrière du soudeur, et non pas devant qui  la source d'azote « intensifié ».

L’histoire de la véracité des Transmutations à basse énergie et à basse température dans un milieu biologique ou non, a fini de convaincre notre futur alchimiste moderne, Louis Kervran. Il imagine alors plusieurs autres résultats jugés incompréhensibles donc inexploités mais qui s'expliqueraient par les transmutations biologiques ou biochimiques.

Kervran décrit les résultats de certaines observations par la fusion ou la fission d’atomes, sans radioactivité détectable, dans un milieu organique, un monde vivant.
Par exemple, le calcium des os viendrait du magnésium absorbé.

Donc inutile de consommer du calcium, surtout celui du lait de vache, de jument, de chèvre, d'ânesse ou de chamelle, prenez du magnésium (riche dans le sarrasin), l’intégration se fera avec une grande assimilation ou biocompatibilité !

Mais comme il fallait s’y attendre, par jalousie ou par intérêt capitalistique, ces travaux ne font pas l'objet d'une reprise ou d'une diffusion émérite par la communauté scientifique.
Le scientisme despotique fait taire toutes les découvertes quand elles s'orientent hors de son cadre chimérique.

Un autre chercheur (INSERM), Jacques Benveniste (1935-2004) a subi l’ostracisme du scientisme, et en est mort d’épuisement à force de luttes contre une armada de sectateurs et de lobbyistes qui voulaient écraser et jeter aux oubliettes ses découvertes.

Benveniste fit la preuve de l’existence de la Mémoire ineffaçable de l’EAU. Toutes les particules ou molécules, qui auraient été « immergées » dans l’Eau au prime abord puis complètement « effacées » de la solution par dilution extrême (supérieure à 14CH), garderait toujours leurs empreintes mnésiques pour une durée indéterminée.

Autrement dit la mémoire de ces éléments reste présente comme trace définitive mais aussi ces molécules gardent leur dynamisme biochimique et biologique pour réaliser toute opération efficiente.
Par exemple, comme la mémoire d’une substance thérapeutique, un remède mnésique qui guérit, bien supérieur au placebo.

Et du même coup, par cette découverte d’une mémoire infaillible de l’Eau, Jacques Benveniste fait voler en éclat la fameuse loi hypothétique et fictive dite d’Avogadro, base de l’atomisme et de la chimie moderne.

L’Eau comme un « tissu » inaltérable garderait l’empreinte de tout « corps » immergé en elle et qu’elle que soit sa durée.

Dans notre Principe Unique, l’Eau (YIN) serait ici une matrice mémorielle « miniature », un fractal de la MÉMOIRE d’ÉTERNITÉ.

Qu'est ce qu'un Fractal ?
La polarisation YIN-YANG engendre une FORME originelle, par exemple une Spirale-mère, qui va donner naissance à des microformes (microspirales) de telle façon que chacune de ces microformes possèdent toutes les propriétés de la Forme originelle (la Spirale-mère). Un fractal est une constitution réduite du TOUT – le PRINCIPE UNIQUE – et qui contient toutes ses propriétés à son niveau.


Cette MÉMOIRE d’ÉTERNITÉ (YIN) enregistre tous les « ACTES » (YANG) de toute FORME, organique ou inorganique, sans exception dans les Univers, infailliblement et pourrait les restituer tel quel sous certaines conditions.

Par exemple, ce que j’écris en ce moment même, et ce que vous comprenez de mon écrit par un acte de votre pensée, est en train de s’inscrire parfaitement, dans ses moindres détail, dans la MÉMOIRE d’ETERNITE. Ce qui est le cas pour toute personne ou autre forme vivante ou non vivante qui agit, pense, parle, etc… à chaque instant.

Ce qui signifie qu’il n’y a aucune réalité de l’Espace-Temps. Ni le temps ni l’espace n’ont de réalité propre excepté dans notre cerveau psychique.
Nous pouvons tout à fait « voyager » dans la Machine Espace-Temps, à tout moment, à condition d’en avoir la clef et l’énergie vitale nécessaire.

Un autre savant alchimiste et énigmatique du 16ème siècle, Michel de Nostredame (Nostradamus) avait fait une découverte remarquable et hermétique.

Il appris à ouvrir une faille partielle dans La Machine Espace-Temps.
Après maintes recherches (voyages et livres occultes, kabbalistiques) et une longue ascèse, il explorait un monde étrange qui s’ouvrait dans son regard intérieur avec frayeur puis avec fascination.

Assis sur sa sellette de bronze, la sensation de faim comme gage, il contemple : « Depuis que j’ai découvert « celui » qui surgit d’entre-moi, je ne dors plus la nuit »….

Il savait comment « entrer » dans les strates de la Mémoire d'Éternité par un travail spécifique sur son corps (ascèse, YANG) associé à une consommation de psychotropes végétaux (YIN) à double effet : d’une part, couper l’appétit et annihiler la faim ; d’autre part, déplacer son centre de conscience dans sa sphère énergétique.
Il obtenait ainsi une accélération de sa fréquence vibratoire donc une métamorphose (transformation) de sa capacité psychique humaine.

Après des centaines d’essais-erreurs, par étapes prudentes, il finit par contrôler à la dose exacte des effets en prévision des projections (voyages métabiologiques) qu’il envisageait pour chaque séquence.

Il était passé maître dans l’Art de la conscience modifiée selon des degrés. Il relate ces états : « Les choses qui doivent arriver peuvent être prophétisées par les lumières nocturnes et célestes qui sont naturelles… » ; «.. par une puissante agitation épileptiforme… » ; «… en s’éclairant de la lumière surnaturelle… » (Lettre à son fils, César ; 1555).

Il écrit une première indication sur sa méthode dans les 1er et 2ème quatrain, voici celle dans le premier (version originale, 1568) :
« Estant assis de nuict secret estude ,
Seul, reposé sur la selle d’aerain,
Flambe exiguë sortant de solitude,
Fait prospérer qui n’est à croire vain
».

Ma traduction : « Je suis assis de nuit pour mon travail secret ; Seul, « planté » sur ma sellette en bronze (composée de cuivre principalement) ; mon feu sacré (rituélique transcendant) prend son ampleur voulue ; et par lui je surpasse et réussi des perceptions prophétiques (vues panoramiques) qui ne sont ni hallucinations ni fantaisies ».

Quelle élégance, quelle virtuosité et belle sorcellerie !     
    
Il décida de publier ce qu’il visionnait sous la forme de centuries tenues volontairement abstraites ou hermétiques.
Le but était à la fois de ne pas révéler explicitement au premier venu ses projections prophétiques dans le champ du monde futur.

Mais deux autres impératifs le lui imposaient.
En premier de ne pas perturber ou nuire au processus karmatique (la fluidité logique) du destin, les équilibres systémiques des phénomènes et les interférences vibratoires gouvernés par l'ORDRE de l'UNIVERS.

Deuxièmement, il devait se protéger du retour des « éclats » mortifiants contre lui-même par cette même Loi karmatique, donc le « film omnipotent-omniscient » de l'ORDRE de l'UNIVERS, si les « choses » étaient distinctement révélées sans voile.

Il avait perçu l’équilibre subtil des Lois du Principe Unique YIN-YANG, des « intelligences », des imbrications logiques, des évènements ou des avatars, animés par l'ORDRE de l'UNIVERS.

Pour le dire simplement, révéler des « choses » à venir, des avènements (infortunes, calamités, revers, épreuves, expériences, chroniques, …)  du monde futur est dangereux pour celui qui en prend connaissance à l’état brut et pour celui qui le révèle sans les coder.
 
De ces « livres secrets » (découverts dans ses nombreux voyages) et de ses notes, il a tout brulé, comme il le précise dans une dernière lettre à son fils César.

Il avait réellement découvert par une formule YIN-YANG spécifique comment associer un extrême YIN et un extrême YANG dans un système quaternaire : Corps – Psyché – Ascèse – Psychotropes.

Et il eut accès à un passage étroit par lequel il pouvait entrouvrir cette mystérieuse et effrayante Machine Espace-Temps… C’était un vrai Sorcier philanthrope.

Je reviendrai plus tard sur Nostradamus, ce métaphysicien de l’Espace-Temps, qui a à la fois fasciné et irrité tous les Hommes, de toutes confessions, dans tous les domaines des sciences et sur toute la planète depuis ses premières prédictions jusqu’à ce jour.

Visionner le futur par La Machine Espace-Temps est un rêve « utopique » et inestimable pour tout le genre humain.


Fin de la 5ème partie

L. M. DEYNE